Dans son nouveau Plan d’action, le gouvernement du Québec diminue ses dépenses en francophonie canadienne...
Après la victoire des libéraux, des familles et membres de la communauté francophone immigrante en Saskatchewan réagissent aux résultats des élections fédérales.
Les élections fédérales ont mené à la formation d’un gouvernement minoritaire dirigé par le Parti libéral du Canada, sous la direction de Mark Carney.
Le Canada a élu un gouvernement libéral. Plusieurs représentants de la francophonie minoritaire ont conservé leur siège, mais pas tous.
À la veille des élections fédérales, une question revient régulièrement : les francophones en milieu minoritaire votent-ils d’une seule voix ?
À l’approche des élections fédérales, L’Eau vive est allé à la rencontre de Fransaskois pour recueillir leurs opinions sur cette élection charnière.
À l’approche des élections fédérales, L’Eau vive est allé à la rencontre de Fransaskois pour recueillir leurs opinions sur cette élection charnière.
À l’approche des élections fédérales, L’Eau vive est allé à la rencontre de Fransaskois pour recueillir leurs opinions sur cette élection charnière.
À l’approche des élections fédérales, L’Eau vive est allé à la rencontre de Fransaskois pour recueillir leurs opinions sur cette élection charnière.
Le gouvernement fédéral a récemment dévoilé son intention de donner un coup d’accélérateur à la filière nucléaire canadienne.
Des médias francophones en situation minoritaire sont à deux doigts de fermer leurs portes.
Le chef conservateur veut donner à plus de jeunes anglophones l’occasion d’apprendre le français. Reste à savoir comment il compte le faire !
À mesure que la campagne fédérale s’installe dans le paysage politique, les francophones en milieu minoritaire font entendre leurs priorités.
Le système électoral canadien repose sur le scrutin uninominal majoritaire à un tour. Un principe simple, mais qui comporte tout de même ses particularités.
Depuis 60 ans, les petites municipalités canadiennes peinent à obtenir des programmes adaptés à leurs réalités, affirme l’ex-député libéral René Arseneault.