Alors que le pays a souligné la Semaine contre la violence faite aux femmes, peu de choses se sont passées en Saskatchewan, pourtant la province la plus concernée par le sujet.
Lors des dernières élections provinciales, la néo-démocrate Jacqueline Roy a été élue députée à l’Assemblée législative de la Saskatchewan.
Du 20 au 22 septembre, une trentaine de Fransaskoises se sont retrouvées lors de la retraite de ressourcement organisée par Entr'Elles Regroupement Femmes Saskatchewan.
Les organismes fransaskois n’ont pas manqué de célébrer les mères en ce mois de mai.
À l’occasion du 8 mars, une soirée a été organisée par l’Association communautaire fransaskoise de Regina (ACFR) en partenariat avec Entr’ELLES Regroupement Femmes Saskatchewan.
Le 8 février, Entr’Elles Regroupement Femmes Saskatchewan a offert un atelier virtuel sur l’équité menstruelle.
C’est avec des messages inspirant le respect, la fierté, la bienveillance et le changement que l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC) mène sa campagne de sensibilisation nationale contre les violences genrées.
PUBLIREPORTAGE – L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne (AFFC) a élaboré une stratégie nationale et un plan d’action pour contrer la violence faite aux femmes et aux filles vivant dans les communautés francophones et acadiennes.
Les Canadiennes qui font le choix de la contraception définitive sont souvent condamnées à l’errance médicale. Les femmes de moins de 30 ans sans enfant sont celles qui ont le plus de difficultés à accéder à la stérilisation.
Lovées au cœur d’un hameau de chalets en pleine forêt, une vingtaine de participantes se sont réunies du 13 au 15 octobre dans le centre de villégiature The Outerbanks, à Gronlid, au nord-est de la province, pour la Retraite de ressourcement d’Entr’Elles Regroupement Femmes Saskatchewan. Au programme : activités, apprentissage et amitiés.
Le 5 mai, le Partenariat provincial interculturel (PPI) a invité la communauté fransaskoise à une activité d'échange et de réflexion sur les aspirations et les besoins des femmes francophones de la province. Les discussions, appuyées par les résultats d’un sondage, ont mis en exergue la contribution des Fransaskoises à la vie communautaire, tout en dressant la liste des défis à relever.
Onésime Dorval (1845-1932), première enseignante certifiée de la Saskatchewan, a fait l’objet d’une rencontre en ligne le 7 mars organisée par Vitalité 55+ et la Société historique de la Saskatchewan (SHS). L’occasion de passer au travers de ses mémoires et de revenir sur sa vie extraordinaire qui frappe encore aujourd’hui les esprits des Fransaskois.
Je suis née un 8 mars. Ma mère prenait plaisir à me dire : « J’ai bien fait ça, hein ? » Je ne sais plus exactement quand je me suis déclarée féministe, mais je me souviens parfaitement du moment où la graine du féminisme a été semée en moi par une religieuse : « Aucune de mes filles ne devra dépendre d’un homme pour gagner sa vie. » J’avais treize ans.
Du 25 au 27 novembre, plusieurs Fransaskoises se sont rassemblées lors d’une retraite de ressourcement organisée par Entr’Elles Regroupement Femmes Saskatchewan. L'événement, qui s’est tenu en format hybride, était composé d'activités vouées au bien-être et au développement personnel de la gent féminine.
À 75 ans, Maria Lepage a plus d’une corde à son arc. Tour à tour engagée pour la Fédération provinciale des femmes fransaskoises, l’Alliance des femmes de la francophonie canadienne, la Coopérative des publications fransaskoises, ou encore l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg, la Gravelbourgeoise ne compte plus les heures données à sa communauté. Alors qu’elle vient de recevoir le prix Bravo Bénévoles des mains du Conseil économique et coopératif (CÉCS), la Fransaskoise engagée revient sur un demi-siècle de militantisme pour la francophonie.