À la suite de l’annexion de la Terre de Rupert au Canada en 1869, la colonisation de l’Ouest connaît un essor irréversible avec l’arrivée de nombreux immigrants.
Par manque de ressources en français, surtout pour parler des sujets autochtones, une enseignante décide d’outiller elle-même les autres via son compte Instagram frenchiemetisteaches.
Quand les conseils scolaires et les établissements postsecondaires francophones s’engagent sur le chemin de la réconciliation avec les peuples autochtones…
Les Canadiens français, qu’ils soient au Québec, au Manitoba ou dans les Territoires du Nord-Ouest, se sont longtemps perçus comme amis et alliés des Métis.
La littérature autochtone traduite en français occupe une place de plus en plus importante dans les catalogues des maisons d’édition francophones hors Québec.
Le 30 septembre marque la Journée du chandail orange et, depuis juin 2021, la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation. Lors de cette journée, les Canadiens reconnaissent les fautes du passé et du présent, et participent aux événements éducatifs et culturels en portant un chandail orange.
La Communauté francophone accueillante (CFA) de Gravelbourg et Moose Jaw a rassemblé le 26 mai à l’école Ducharme vingt-trois Fransaskois à l’occasion d’un atelier de perlage. Animée par Jolanta Bird, artiste ojibwée, l’activité a permis aux participants de repartir avec un papillon de perles colorées, et de nouvelles connaissances sur la culture autochtone.
Le 4 avril dernier à la Rotonde de la Cité universitaire francophone, le professeur Darryl Leroux a lancé son livre Ascendance détournée : quand les Blancs revendiquent une identité autochtone. En abordant les enjeux de l’appropriation de l’identité métisse et autochtone, l’universitaire a ainsi décrypté le concept d’auto-autochtonisation.
Le 25 mars, une trentaine de Fransaskois sont partis à la découverte des Premiers Peuples des Plaines. Une activité ludique et culturelle organisée par la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS), en collaboration avec le Service d'accueil et d'immigration francophone (SAIF-SK), au sein du parc Wanuskewin à Saskatoon.
Le 16 janvier 2023, l’organisme à but non lucratif ACFAS-Saskatchewan a accueilli Chantale Cenerini, professeure de linguistique à l’Université de la Saskatchewan, dans le cadre de la conférence Les histoires métchif : Comment la co-construction du discours valide l’histoire orale. L’occasion d’en apprendre plus sur la langue mitchif et ses traditions orales.
Le pionnier fransaskois Jean-Louis Légaré (1841-1918), fondateur de Willow Bunch au sud de la Saskatchewan, était à l’honneur lors d’une conférence virtuelle organisée par Vitalité 55+ le 24 janvier. C’est le directeur de la Société historique de la Saskatchewan (SHS), Alexandre Chartier, qui a présenté ce personnage important du Canada et des États-Unis encore méconnu.
FRANCOPRESSE (Entretien) – Lors de la Première Guerre mondiale, des milliers d’Autochtones ont servi dans les Forces armées canadiennes. John Moses, membre des bandes Delaware et Upper Mohawk des Six Nations du territoire de la rivière Grand en Ontario, revient sur ce pan de l’Histoire toujours vivant dans la mémoire collective et intrinsèquement lié au respect des droits autochtones.
FRANCOPRESSE – Le pape François a demandé pardon pour «le mal commis» aux peuples autochtones et «en particulier, pour la manière dont de nombreux membres de l’Église et des communautés religieuses ont coopéré» lors de son allocution à Maskwacis, en Alberta. Selon le doyen de la Faculté de théologie de l’Université Saint-Paul, Michel Andraos, les excuses du souverain pontife étaient justes, mais il craint que l’Église canadienne ne soit pas outillée pour poser des gestes concrets vers la réconciliation.
FRANCOPRESSE – Avertissement – contenu sensible et potentiellement bouleversant - Un peu plus d’un an s’est écoulé depuis l’annonce des premières découvertes de centaines de tombes sans sépulture près des sites d’anciens pensionnats autochtones. Les communautés de Tk'emlúps te Secwépemc et de Cowessess continuent leurs efforts pour identifier les enfants qui sont décédés dans les pensionnats de Kamloops en Colombie-Britannique et de Marieval en Saskatchewan et pour trouver les sites où ils pourraient être enterrés.
Le 25 mars dernier, Doris McDougall, originaire de Saint-Louis en Saskatchewan, a reçu la prestigieuse médaille d’or de l’Ordre de Gabriel Dumont. Un honneur que la Métisse francophile a reçu de l’Institut Gabriel Dumont, lui rappelant le souvenir de son père lui-même décoré par ce prix il y a une trentaine d’années.