Google a fait parvenir à l’ensemble des députés fédéraux une lettre trompeuse dans le cadre d’une dispendieuse campagne de lobbying mondiale.
Louis Prince, élève de 11 e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, est un des huit jeunes leaders du Français pour l’avenir.
Entretien avec Corinne Dourlent, directrice générale de l’ACFMJ de septembre 2019 à novembre 2020, témoigne d’une atmosphère nauséabonde au sein de la communauté francophon
Depuis le 6 janvier, FRÉSK, le répertoire de ressources éducatives en français pour la Saskatchewan, a délaisser la version papier du catalogue au profit d’un site web.
Le début du semestre d’hiver est l’occasion de revenir sur l'expérience étudiante inédite à la Cité universitaire francophone de Regina depuis le début de la pandémie.
En 1969, Richard Dupas n'avait que 12 ans lorsque le journaliste et animateur Henri Bergeron de Radio-Canada l'a interviewé à la télévision au sujet des chances de survie du français à Gravelbourg.
Originaire du Vietnam, la poétesse a élu domicile au Canada il y a près de deux décennies et vit maintenant en Saskatchewan depuis 2011. Après Au gré de l’amour et Voyage du cœur , Thuy Nguyen poursuit sur sa lancée poétique avec Un tissu de bonheur
Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline Keystone XL. Qu'en penses Justin Trudeau?
L’hiver est synonyme pour beaucoup de raquettes, patins à glace et ski. En dépit de la COVID-19, les Saskatchewanais peuvent tout de même prendre le temps d'explorer des sports d'hivers.
La Troupe du Jour a lancé sa saison 2020-2021 en décembre avec la pièce La vie après le hockey, une traduction par Michel Garneau de la pièce canadienne Life After Hockey du dramaturge Kenneth Brown
L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :
Le chef conservateur Erin O’Toole a expulsé le député de Hastings—Lennox et Addington, Derek Sloan, du caucus du Parti conservateur du Canada
La langue anglaise permet aux personnes non-binaires d’utiliser un terme parapluie pour définir leur identité: they/them . En français, les pronoms neutres et inclusifs comme iels, saon, celleux tardent à s’implanter dans la culture populaire. Résultat : des francophones trans et non-binaires sont plusieurs à se tourner vers un mode de vie anglais.
Quarante-quatre pour cent des francophones seraient mal à l’aise d’utiliser le français au travail, révèle un sondage du Commissariat aux langues officielles auquel ont répondu plus de 10 000 fonctionnaires fédéraux. Des données qui ne surprennent pas certains experts qui rappellent que le phénomène de l'insécurité linguistique est documenté depuis de nombreuses années.
Le nouveau balado Les Francos oublié.e.s est né de l’amitié entre deux francophones canadiens. Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran se sont unis pour créer un espace de discussion sur les identités sous-représentées de la jeunesse francophone canadienne.