L’assemblée générale annuelle des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) a eu lieu le 31 octobre 2020 par conférence Zoom. Elle a regroupé une quinzaine de membres et observateurs à travers la province. Le présidet, Laurier Gareau, a présenté les accomplissements de la maison d’édition pour l’année écoulée.
Le 3 novembre dernier, la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina, en partenariat avec l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) et l’Université de la Saskatchewan, a présenté une table ronde virtuelle sur la pandémie.
C’est dans le cadre du Rendez-vous fransaskois des régions 2020 que la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS) a tenu sa 3 e édition en ligne du Grand quiz.
L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire. Le défi : exposer de façon claire, concise et convaincante un projet d’envergure en trois minutes.
Le 29 octobre, 39 participants ont assisté virtuellement à la 40eAssemblée générale annuelle de la Fédération des francophones de Saskatoon. La question de la rentabilisation du Relais demeure la principale préoccupation de l’organisme.
La mission de ces chiens est simple : défendre les troupeaux et les familles de paysans contre les attaques d’animaux sauvages.
La communauté de Gravelbourg a pris le temps de célébrer le jour du Souvenir le matin du 11 novembre 2020.
Les tensions qui agitent la communauté fransaskoise ont atteint dernièrement un tel niveau que quatre organismes porte-parole ont dû se mobiliser le 20 octobre pour apaiser les esprits.
Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est aussi président du Conseil scolaire fransaskois l’a emporté avec 70 % des voix face à son adversaire Siriki Diabagaté.
La Semaine nationale de l’immigration francophone s’est achevée le 6 novembre, l’occasion de constater que les cibles d’immigration francophone hors Québec fixées par les gouvernements ne sont toujours pas atteintes.
Transport scolaire annulé, circulation hasardeuse, élections municipales reportées, l’hiver est arrivé en coup de vent sur les Prairies. Des lecteurs et collaborateurs nous ont fait parvenir des photos témoignant du passage de la première tempête hivernale qui a laissé plus de 30 cm de neige sur certaines régions de la province.
Dans un récent sondage mené en août, seulement 58% des Québécois se disent au courant des enjeux qui préoccupent les Premières Nations à travers le pays. Il semble que les résidents de l’Ouest canadien sont plus informés quant aux diverses préoccupations des peuples autochtones, mais ne leur offrent pas toujours leur appui.
Les francophones de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan ont peu d’espoir de voir leurs gouvernements respectifs adopter des lois sur les langues officielles.
Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.
Selon un nouveau sondage Léger, près de la moitié des Canadiens sont au courant de la récente controverse à l’Université d’Ottawa, et plus de la moitié ont tendance à soutenir la professeure ayant prononcé le «mot en n» dans le cadre de son cours Art and Gender plutôt que les étudiants.