Je voudrais vous remercier pour l'article Billet d'humeur : Le marketing de la générosité, paru dans le numéro du 11 au 17 décembre. C'était touchant. Je dois par contre vous signaler une erreur importante qui s'est produite dans la référence à mon implication avec la Fondation fransaskoise. Permettez-moi d'apporter quelques précisions.
J'ai travaillé avec la Fondation fransaskoise pour mettre sur pied un nouveau fonds auxiliaire de la Fondation en mémoire de mon épouse Suzette. Celui-ci permettra de financer des projets dans les écoles du Conseil des écoles fransaksoises qui font des élèves des Fransaskois fiers et engagés qui n'hésiteront pas à s'identifier à la communauté fransaskoise et à participer activement à celle-ci.
Avant que l'on puisse commencer à accorder du financement à des projets scolaires, le fonds Suzette Boutin-Fafard doit atteindre un minimum de 10 000 $, comme n'importe quel autre fonds auxiliaire. Voilà pourquoi nous l’avons lancé lors du coup d'envoi de la campagne d'automne de la Fondation fransaskoise.
La campagne d'automne de la Fondation fransaskoise se terminait le 31 décembre. Nous nous étions fixé comme but de ramasser 40 000 $ pendant l'automne. Les donateurs pouvaient choisir de verser leur don au fonds auxiliaire de leur choix. Bien que j'aie fait un don au fonds Suzette Boutin-Fafard, je ne suis pas en mesure de faire une contribution de l'envergure citée dans l'article.
Cordialement,
Bernard Fafard
ndlr : Bien que la campagne de financement d'automne soit terminée, il est toujours possible de contribuer au fonds Suzette Boutin-Fafard ou à un autre fonds auxiliaire de la Fondation fransaskoise sur le site www.fondationfransaskoise.ca.