Arts et culture 20 juillet 2021 Zenon ParQuoi ? : un projet vidéo humoristique et décalé à Zenon Park
19 juillet Francophonie Une Acadienne prend la présidence de la FCFA Liane Roy est la première Acadienne depuis 2007 à occuper le poste de présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne
Vision d’avenir et bilan d’une année hors norme à l’ACF « On veut faire des choses qui nous plaisent, et on concentre notre action là-dessus », affrime le président...
Pour une communauté plus verte L’Assemblée communautaire fransaskoise a embauché Melaina Sutherland, une passionnée d’écologie et étudiante au baccalauréat...
Le Festival fransaskois fait son retour en mode virtuel Cette année, le Festival fransaskois qui s’est présenté sous un format inédit au travers d’une nouvelle plateforme virtuelle.
Anique Granger brille de mille trilles L’auteure-compositrice-interprète fransaskoise Anique Granger a remporté de grands honneurs lors des galas Trille Or qui se sont déroulés en...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27377 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer