27 avril Autochtones / Métis Trois plumes, ou la puissance de la justice réparatrice Le roman graphique « Trois Plumes » de Richard Van Camp est disponible dans une traduction française inédite aux Éditions de la...
Le mensonge des reflets: un travail d'artistes francophones rapprochés par la pandémie Huit artistes francophones, dont deux fransaskois, avaient 48 heures pour créer une œuvre commune à distance. À vois dans l'émission...
Le destin croisé des francophones et Autochtones Les liens entre Autochtones et francophones sont encore peu étudiés au Canada
Une présence francophone discrète à la librairie McNally Robinson Véritable institution dans l’Ouest canadien, McNally Robinson est la plus grande librairie indépendante au Canada, disposant de deux...
Il y a urgence d’agir en éducation postsecondaire en français Disparition de programmes à l’Université Laurentienne, compressions au Campus Saint-Jean et à l’Université de Moncton, budget à...
12 juin 2020 Michel Vézina 21309 Ponteix, En quelques mots Laurent Desrosiers : Le dernier timbre Pendant beaucoup d’années, Laurent Desrosiers, alias « Le timbré », a partagé sa passion avec les lecteurs de L’Eau Vive. Le chroniqueur a reçu la dernière oblitération de son timbre de vie le matin du 5 juin 2020. « Le timbré » nous aura fait découvrir de multiples facettes de la connaissance via les timbres. Il nous aura fait rêver de voyage dans des pays exotiques. En ce sens, il était un grand globe-trotteur bien qu’il n’ait parcouru que peu de distance sur cette planète. Il nous aura présenté des événements historiques qui expliquent comment notre monde a évolué, pour le meilleur et pour le pire, et nous aura fait réfléchir sur nos actions. Il nous aura fait connaître des personnages marquants qui ont influencé nos sociétés et leurs institutions, des individus servant souvent de repères pour la construction de notre monde. Laurent Desrosiers, par ses timbres, a donné un coup de pouce à notre éducation. C’était son côté pédagogique qui ressortait, étant un ancien enseignant, notamment à Zenon Park. Il s’était retrouvé ensuite agent d’élévateur à Ponteix où deux anges gardiens ont partagé sa vie : sa première épouse Aurore puis, après le décès de celle-ci, Annette. J’ai eu la chance de côtoyer Laurent à de nombreuses reprises. Toutes les personnes qui l’ont fréquenté n’oublieront pas son côté taquin, mais aussi son côté complice, toujours prêt à aider. Il était impliqué dans sa communauté de façon discrète, toujours au rendez-vous. Quand une personne âgée décède, la communauté perd son bagage de sagesse, d’expérience et de connaissance. S’il existe un paradis des philatélistes, Laurent Desrosiers y sera des plus heureux. Il y est arrivé avec un timbre original, le timbre « Laurent Desrosiers, dit Le timbré ». Repose en paix, Laurent. Nos condoléances à Annette et à ta famille. Balises Laurent Desrosiers Partager Imprimer Liens à visiter ...Les timbrés Chroonique philatélique de Laurent Desrosiers