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Entretien avec Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran Amplifier la voix des francophones en milieu minoritaire avec un balado Le nouveau balado Les Francos oublié.e.s est né de l’amitié entre deux francophones canadiens. Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran...
6 janvier 2017 Laurent Desrosiers 39623 2016, Les timbrés Timbres émis le 1er novembre pour Noël 2016 Vignette de la Sainte Vierge avec l'enfant Jésus. L'original est une peinture créée peu avant l'avènement de la Peinture à l'huile, vers 1460, par Maître de la Nativité de Castello, un artiste de Florence, Italie On a à peine oublié Halloween que déjà on entend à la radio et à la télévision des airs et des annonces de Noël. La parution des timbres de Noël a été fixée au 1er novembre 2016. Selon une tradition vieille de plus de trente ans, nous avons encore deux genres de timbres: un avec un sujet religieux et trois avec des sujets profanes. Le timbre religieux, une jolie madone, est de valeur permanente tandis que les profanes sont un bonhomme Noël devant un sapin, de valeur permanente pour la poste domestique, un deuxième est un sapin avec une tuque, de 1,20$ pour la poste aux États-Unis et le troisième est une colombe de paix près d'un sapin de 2,50$ pour la poste internationale à l'extérieur de l'Amérique du Nord. Les timbres profanes ne m'intéressent guère. Je ne les veux que pour ma collection. Je m'attache surtout au timbre de la Madone. La vignette est la Sainte Vierge avec l'enfant Jésus. L'original est une peinture créée peu avant l'avènement de la peinture à l'huile, vers 1460, par Maître de la Nativité de Castello, un artiste de Florence, Italie. C'est un tableau rare, un don au Musée des Beaux Arts de Montréal par Michael et Renata Hornstein. Le tableau a été photographié par Brian Merrett et le timbre a été crée par Louise Méthé. Le timbre est de petit format mesurant 26¼ sur 32¼ mm. Comme les timbres des Madones des Noëls du passé, ce timbre est très joli. Encore cette année, je prends cette occasion pour inviter avec insistance mes lecteurs à utiliser ce petit chef-d'œuvre pour affranchir leur correspondance du temps des Fêtes. Ne laissons pas la commercialisation, avec ses demandes de dépenses effrénées, fausser le vrai sens de la fête de Noël. Cette édition de l'Eau vive est la dernière avant le congé de Noël. J'en profite pour souhaiter au personnel de l'Eau vive et à tous mes lecteurs un Joyeux Noël et une Bonne et Heureuse Année avec le paradis à la fin de vos jours. Partager Imprimer