10 décembre Regina Démission de la direction de l’ACFR sous fond de tensions Engagée à titre de coordinatrice en avril 2019 puis de directrice en janvier 2020, Elma Bos a quitté l’organisme le 7 décembre 2020. Elle...
Un magazine franco-manitobain fait le tour du monde Plus de 200 000 copies du magazine franco-manitobain Sciences Mag Junior, produit par le journal La Liberté et paru en mai dernier, ont été...
Cristian De La Luna, une corde « sensible » Fils de réfugiés politiques colombiens, Cristian a quitté Bogota pour Jonquière, au Québec, avant de finalement trouver sa place à Edmonton....
Le lièvre peut-il dormir sur ses deux oreilles ? Nous en avons tous déjà vu et nous sommes tous d’accord pour dire que leur population augmente, mais connaissons-nous vraiment bien...
Les Éditions de la Nouvelle plume ont publié la pièce de Martine Noël-Maw Will & Ernest : deux identités, un homme La pièce Will & Ernest de Martine Noël-Maw, produite par La Troupe du Jour, a remporté trois prix au gala des Saskatoon and Area Theatre...
2 février 2018 Laurent Desrosiers 27766 2018, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le Concorde, une merveille aéronautique Les Timbrés Notre dernière chronique mentionnait que la France et l’Angleterre avaient coopéré pour créer deux merveilles des temps modernes : le tunnel sous la Manche et le Concorde. Le Concorde était un aéronef extraordinaire. Son nom, « Concorde », signifie harmonie ou union. Il a été choisi pour souligner que la France et la Grande-Bretagne ont coopéré à 100 % pour produire ce chef-d’œuvre. Pour réaliser un tel avion, l’harmonie entre ces deux nations était essentielle. Elles en ont produit 20, y compris 6 prototypes. Il a trouvé sa place d’honneur sur plusieurs timbres. Qu’avait-il de spécial ? Sa vitesse de croisière était de Mach 2,02, soit 2,02 fois la vitesse du son. Il a été le seul avion commercial équipé de commandes de vol électriques analogiques. Deux des facteurs qui ont entraîné son retrait après 27 ans de service sont sa consommation très considérable de carburant et son boom sonique qui fracassait des fenêtres des édifices qu’il survolait. Seuls les gens les plus affluents pouvaient voyager sur le Concorde. En 1997, un billet de New York à Londres coûtait 7 995 $, soit 30 fois le prix d’un billet en classe touriste sur un avion ordinaire. Ce qui explique un taux de remplissage de seulement 20 %. Dans son livre Flying Concord, un pilote explique qu’il a décollé de Karachi à destination d’Athènes (direction ouest) peu après le lever du soleil. La vitesse du Concorde était telle que les passagers ont vu le soleil se coucher à l’est. D’Athènes vers Londres (direction nord-ouest), ils ont vu un deuxième lever de soleil. N’oublions pas que le Concorde parcourait en une heure plus de 15o du globe terrestre. Vous souvenez-vous de cette fois où le Concorde a atterri à Regina ? Je crois que c’était en 2003. La descente des passagers était impossible parce que les passerelles pour quitter l’avion ne pouvaient pas atteindre la porte du Concorde à cause de sa hauteur. On a dû utiliser un élévateur de fortune. L'ancienne Union soviétique est le seul autre pays à avoir développer un avion supersonique: le Tupolev TU-144. Il a été retiré après moins de deux ans de service. Partager Imprimer