9 octobre Politique Il y a 25 ans, le référendum qui a creusé un fossé entre les francophones du Canada Le référendum sur l’indépendance du Québec de 1995 n’a pas fait que diviser les Québécois. Déjà éloignés l’un de l’autre,...
Publication d'un rapport de l'AFFC sur les priorités des femmes de la... Les femmes, gardiennes de la langue française en milieu minoritaire L’Alliance des femmes de la francophonie canadienne vient de lancer son rapport final suite à une enquête pancanadienne sur les priorités...
Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert Francopresse a pu aborder, avec la nouvelle cheffe des verts, de nombreuses thématiques dont le revenu minimum garanti, la place du Parti vert sur...
Élection provinciale : une fransaskoisie divisée Selon le sociologue fransaskois Wilfrid Denis, les enjeux varient selon la situation géographique - Nord ou Sud, rurale ou urbaine - et...
Entretien-avec-Michael-Akinpelu L’identité de la jeunesse fransaskoise vue par un sociolinguiste Comment la jeunesse fransaskoise maintient-elle son héritage linguistique et culturel? C’est la question à laquelle Michael Akinpelu,...
13 septembre 2017 Pierre-Émile Claveau 35720 2017, CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, Éducation, Écoles fransaskoises, Petite enfance Les services de prématernelle fransaskois seront facturés Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle à la suite de la séance extraordinaire par audioconférence du 2 septembre dernier. Le président par intérim, Martin Prince, avait convoqué une séance extraordinaire afin d’avoir une franche discussion sur la question avant la rentrée scolaire, en présence de tous les conseillers. Certains élus ont fait part de leurs inquiétudes tandis que d’autres ont déclaré avoir eu, une rétroaction positive concernant la facturation de la prématernelle. Les frais pourraient s’élever à 80,88 $ par enfant par mois. Lors de la séance régulière du 31 mai dernier, le CÉF avait indiqué qu’il souhaitait obtenir un revenu de 158 000 $ à l’aide de la facturation en 2017-2018 et que la somme serait réinvestie dans l’animation culturelle, l’éducation à distance et la conciergerie. En séance régulière, le 8 septembre dernier, le CSF a décidé d’obtenir un avis juridique sur la légalité de la facturation des services de la prématernelle. De plus, les élus ont adopté une résolution afin que la somme recueillie soit investie uniquement dans les activités culturelles liées à la francisation. Monsieur Barry a soumis une proposition afin de revenir sur la décision du CSF d’imposer des frais à la prématernelle. Il a mis de l’avant que les conseillers n’avaient pas toutes les informations nécessaires lors de la décision et que le surplus budgétaire anticipé de l’année 2016-2017 pourrait couvrir les frais selon lui. Sa proposition n’a pu être adoptée, le vote s’étant soldé par une égalité de trois contre trois. La conseillère de Prince Albert, Geneviève Binette, était absente lors du vote. Un formulaire d’aide financière est mis à la disposition des familles qui seraient dans l’impossibilité de payer les frais. Rappelons que le 31 mai dernier, Martin Prince avait mandaté l’administration de trouver une solution pour les familles n’ayant pas les moyens de payer les frais. En date du 2 septembre, cinq formulaires ont déjà été envoyés et ils ont tous été approuvés. Les demandes proviennent des grands-centres. Certains conseillers scolaires du sud de la province craignent la compétition en milieu rural et que l’imposition de frais mensuels ait un impact négatif sur les inscriptions dans leur région. La conseillère de Gravelbourg, Maria Lepage, a mentionné que la prématernelle était gratuite dans une autre école. Par ailleurs, le pavillon élémentaire de l’École Monseigneur de Laval compte désormais cinq classes de prématernelle, une première dans l’histoire de l’établissement. En raison d’une hausse importante d’inscriptions à la rentrée, le personnel a dû réaménager les salles de classe. La bibliothèque a été déplacée au deuxième étage de l’édifice au cours de l’été. Partager Imprimer