20 février Francophonie Causerie avec Donald Sirois: Entre amour du français et assimilation SASKATOON - Dans le cadre du projet Résot’âges de la Cité universitaire francophone et de la Fédération des ainés fransaskois, le retraité...
Dur, dur, la démocratie Au Canada, nous avons la chance d’avoir un premier ministre qui n’a pas fait reculer les mesures de protection environnementale de 20...
Débats au sommet pour les jeunes de l’Ouest Six jeunes de l'École canadienne-française de Saskatoon ont participé à au grand concours du Sommet des débats au Campus Saint-Jean à Edmonton.
Le début d’une aventure européenne pour Ponteix Fin janvier 2020, le trio est parti à la rencontre du public français pour tester les eaux du marché outre-Atlantique.
Le vapotage, nouveau péril jeune? Dans les messages postés sur Instagram, les publications flatteuses sur le vapotage se comptent par milliers. Premières cibles : les...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27246 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer