29 novembre CCF - culturel.fransaskois.net Ma quincaillerie musicale en tournée saskatchewanaise Entretien avec Ariane DesLions, fabricoleuse excentrique Le spectacle de cette fabricoleuse, multi-instrumentiste et travailleuse sociale de formation visitera plusieurs communautés fransaskoises pendant...
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La Cité universitaire francophone a accueilli un colloque national Soins de santé en français : les défis de l'offre active REGINA - La Cité a accueilli le tout premier colloque dans l'Ouest canadien sur l'offre active de services de santé en français....
Retour sur une expérience théâtrale interculturelle Panser la violence, de l’Afrique au Canada La création théâtrale #Panser, de la dramaturge Natalie Fehéregyházi, est le fruit d’une résidence en République démocratique du Congo...
Entre une jeunesse qui bouge et un conservatisme religieux Retour dans les années 1970, première décennie de l’Eau vive Lors du colloque « Les médias francophones sous toutes leurs coutures » tenu à l’Université Sainte-Anne en...
5 juillet 2018 Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan 31592 2018, Immigration, Le point sur le RIF Du développement au RIF-SK Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) est l’un des premiers à avoir vu le jour au Canada. En effet, c’est en 2004 qu’Immigration, réfugiés et citoyenneté Canada (IRCC), alors appelé Citoyenneté Immigration Canada (CIC), alloue un financement à l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) pour mettre en place une infrastructure de réseau dédiée à l’immigration francophone dans la province. Le Regroupement provincial en Immigration (RPI), renommée plus tard Réseau en immigration francophone (RIF), en est le résultat. Les treize dernières années ont permis au réseau de se doter de plusieurs outils de gouvernance essentiels à son fonctionnement. Il partage ainsi, en 2009, un plan stratégique pour la communauté intitulé « Immigration d’expression française en Saskatchewan 2010-2030 ». Un peu plus tard, le RIF-SK se dote d’un plan opérationnel et de termes de référence. En 2016, un plan de communication est même envisagé pour répondre au renouveau de la donne en immigration. Parce qu’il faut bien le dire : la réalité migratoire, c’est-à-dire les changements que tout un chacun mesure dans les cours d’école, les centres commerciaux ou encore l’actualité, a évolué bien plus vite que les organismes, institutions et gouvernements ne l’ont fait, en matière de stratégies et d’approches. Et ce facteur de vitesse devrait nous inciter à une plus grande flexibilité vis-à-vis le fonctionnement et l’utilisation de nos outils, y compris les mécanismes de concertation comme les RIFs. Ajuster les ambitions à la réalité Avec les niveaux historiques fixés par le gouvernement du Canada, soit près d’un million de nouveaux immigrants d’ici 2020, toutes les parties prenantes du parcours migratoire de ces nouveaux arrivants doivent également changer de lentille et ajuster leurs ambitions à la réalité. Et cette réalité nous force à mettre au premier plan des résultats tangibles et mesurables, des collaborations horizontales accrues et la question centrale de l’employabilité et de l’économie. C’est ce que le RIF-SK s’efforce de faire depuis 2017. Depuis 2017, le RIF-SK a revu son plan opérationnel, modifié son cadre de références, recruté trois nouveaux membres décisionnels, créé huit partenariats avec des organismes anglophones, siégé sur trois conseils anglophones, commandé un plan de communication et, pour la première fois en 14 ans, convaincu son bailleur de fonds, IRCC, de financer un deuxième employé à temps plein. Pourquoi ? Parce que le RIF-SK a l’ambition de répondre à la demande du moment historique que nous vivons, en matière d’immigration. À cet égard, les changements qu’a connus le RIF-SK en 2017 ont fait de cette année une année décisive pour le développement du réseau et son renforcement. Et tous les organismes membres, les partenaires comme les observateurs, mais aussi la communauté dans son ensemble, peuvent être fiers du travail que la table de concertation a accompli jusqu’ici. Partager Imprimer