10 octobre Francophonie Le passage de Denise Bombardier à l’émission Tout le monde en parle a... Parler ou ne pas parler de Denise Bombardier? Des francophones en milieu minoritaire choisissent de se tenir loin du débat sur leur survivance provoqué par Denise Bombardier. D’autres...
Journée nationale des ainés : Que faire de nos ainés? Vieux, fragiles, malades. Voilà quelques-uns des stéréotypes auxquels sont associés les ainés. Alors que leur nombre ne cesse d’augmenter,...
Mission accomplie pour le premier Talk Chaud SASKATOON - Plus d’une quarantaine de personnes étaient rassemblés au Relais vendredi 27 septembre afin d’assister au premier...
La modernisation de la Loi sur les langues officielles est-elle un enjeu électoral ? En pleine campagne électorale, le dossier de la modernisation de la Loi sur les langues officielles est au cœur des préoccupations des acteurs de...
Coup de jeunesse pour le Théâtre Oskana À l’amorce de sa 30e saison, le Théâtre Oskana de Regina mise sur la famille et la jeunesse pour renouveler sa programmation et attirer de...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27230 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer