12 juin 2ELGBTQ Premiers pas vers l’acceptation 50 ans de la dépénalisation de l’homosexualité En 1969, une loi omnibus modifie le droit pénal au Canada : les relations homosexuelles ne sont désormais plus criminelles.
AGA de la Fédération provinciale des Fransaskoises PRINCE ALBERT - L'Assemblée générale annuelle de la Fédération provinciale des Fransaskoises s’est faite sous le thème de la...
Pavillon francophone à Mosaic : une réussite dans la diversité REGINA - Du jeudi 30 mai au samedi 1er juin le pavillon francophone du Festival Mosaic de Regina a accueilli quelque...
La Troupe du Jour présente sa prochaine saison SASKATOON - La prochaine saison de La Troupe du Jour accordera la priorité aux talents des auteurs et artistes de la Saskatchewan. Il y aura...
La Franco-Manitobaine Dominique Rey de passage au Remai Modern SASKATOON - Dominique Rey est la première artiste francophone de l’Ouest à exposer au Remai Modern depuis son ouverture en octobre 2017.
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27216 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer