Réjean Paulin 26 février 2019 Parlons de francophobie « Francophobie ». Voilà que ce mot nauséabond réapparait dans le vocabulaire courant. Il plane sur tout le Canada. Le Nouveau-Brunswick est gouverné par un gouvernement minoritaire à la merci d’un parti hostile aux francophones.
25 février Regina Remaniement du CA de l'ACFR François-Regis Kabahizi a été nommé président de l'Association canadienne-française de Regina, suite à la démission de Sylvie...
Faux pas : apéritif avant le premier album de Ponteix REGINA - Mario Lepage et sa formation Ponteix, lançait le 25 janvier dernier une nouvelle composition originale intitulée Faux Pas....
Gens d'ici Richard Speath : une relation familiale avec des Afro-Canadiens Pour ce mois de célébration de l'histoire des Noirs, j’ai rencontré un Fransaskois dont la vie a été profondément marquée par sa...
Si les immigrants s’en mêlaient… Les minorités visibles dans la fonction publique fédérale : perceptions et réalités Angélique Ruzindana Umunyana a souvent été questionnée sur l’accès des immigrants aux emplois dans la fonction publique fédérale. Elle...
Le chanteur ne rencontre pas tous les critères d'admission Kaya Free ne pourra pas aller à Granby REGINA - Le Festival international de la chanson de Granby se voit forcé de refuser la candidature de Kaya Free.
2 janvier 2019 Frédéric Frédéric Dupré 42562 Archives, 2018, Mon métier, ma passion André Magnan : professeur-chercheur fransaskois André Magnan Ph.D. André Magnan, directeur associé de la Cité universitaire francophone de Regina Photo: Frédéric Dupré André Magnan est originaire de Saint-Albert en Alberta. À 7 ans, ses parents déménagent toute la famille à Saskatoon. C’est probablement grâce à ce déménagement qu’il conservera sa langue maternelle, le français. En Alberta, il fréquentait une école d’immersion, ce qui facilitait l’usage de l’anglais par lui et ses frères et soeurs. Bien que ce ne soit pas la principale raison de leur déménagement, l’usage du français et sa vitalité étaient très importants pour ses parents tous deux francophones. Son père, Denis Magnan, sera de premières luttes pour l’obtention de la gestion scolaire. Il s’engagera politiquement pour la défense de la communauté, il occupera d’ailleurs la présidence de l’ACFC (prédécesseur de l’Assemblée communautaire fransaskoise) de 1991 à 1995. André Magnan poursuit ses études universitaires en sciences à Saskatoon, souhaitant devenir médecin, mais sans succès. Il se dirigera en sciences sociales et il poursuivra vers le doctorat en sociologie de l’agroalimentaire à l’Université de Toronto. Pour se rapprocher de sa famille, il revient à Regina terminer son doctorat avant de décrocher un poste au Département de sociologie de l’Université de Regina en 2008. Il s’intéresse aux questions liées aux organismes génétiquement modifiés, à la gestion du commerce du grain dans les prairies avant de poursuivre un programme de recherche sur l’accaparement des terres par de grands investisseurs, la « financiarisation » de l’agriculture. André Magnan a été nommé en juillet 2018 directeur adjoint de La Cité universitaire francophone, il est aussi responsable du Centre canadien de recherche sur les francophonies canadiennes. C’est la première fois qu’il travaille dans un environnement en français de toute sa carrière, un facteur important dans son choix pour accepter ce nouveau poste. Dans sa vie personnelle, en plus de s’occuper de ses trois enfants avec sa conjointe, il est membre depuis plusieurs années de la chorale de l’université. Partager Imprimer