1 septembre Musique Lancement de l’album Contes des cœurs perdus Soirée romantique avec Thomas Chevalier REGINA - C’est au German Club de Regina que le chanteur fransaskois Thomas Chevalier a convié son public, le 25 août 2018, à une...
Folkfest 2018 La diversité culturelle au rendez-vous à Saskatoon SASKATOON - La culture dans sa diversité était une fois de plus au rendez-vous cette année à travers l’organisation de la 39e édition...
Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Lord Byrun remporte les honneurs à Granby Pour la première fois, un artiste de la Saskatchewan a remporté la grande finale du prestigieux Festival international de la chanson de Granby...
Première rencontre de consultation à Regina La CAFS consulte ses membres REGINA - Lors de la dernière assemblée générale de la CAFS, en juin dernier, il est ressorti que la gestion de l’organisme devait être...
1er rapport d’une étude sur 50 000 Canadiens âgés de 45 à 85 ans Aînés francophones : manque de soins, absence de services en français… mais bonne santé mentale Solitude et isolement, démence, transport et mobilité, incapacités et chutes, modes de vie et vieillissement des personnes LGBT. Un premier...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27188 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer