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La FAF ne profitera pas de la majoration de 20 % des subventions aux organismes Pas de financement supplémentaire pour les aînés fransaskois Les organismes fransaskois verront le financement de leur programmation 2018-2019 majoré de 20 % cette année par Patrimoine canadien. La...
Une semaine de films francophones à Saskatoon Le festival CINERGIE populaire auprès des écoles SASKATOON - Si le Festival du film francophone de Saskatoon a toujours le vent dans les voiles, après treize éditions, c’est en grande...
Joe Fafard revisite Van Gogh à Toronto Après dix ans d’absence, le sculpteur canadien de renommée internationale, Joe Fafard, fait son grand retour à Toronto pour...
Célébration des 10 ans de la CAFS Un menu rythmé pour le 9e Gala culturel africain SASKATOON - Près de 300 personnes se sont présentées à ce gala pour célébrer non seulement la culture africaine, mais aussi le 10e anniversaire de...
5 juillet 2017 Pierre-Émile Claveau 22159 2017, SCFP - Société canadienne-française de Prince Albert Un déménagement imminent Assemblée générale annuelle de la SCFPA Le directeur général, Ahmed Hassan, et le président de la SCFPA, Michel Dubé PRINCE ALBERT - La Société canadienne-française de Prince Albert a tenu son assemblée générale annuelle à l’École Valois, le 23 juin dernier. Le cas d’un possible déménagement dans un nouvel édifice a été discuté avec les membres. La Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) occupe présentement un local sur la 13e rue Est. Par contre, on discute d’un possible déménagement depuis quelque temps. La société a visité une douzaine de lieux à Prince Albert et un édifice est ressorti du lot sur la 11e rue Est, un établissement à deux étages. La bâtisse convoitée offre plusieurs possibilités comme l’explique le président de la SCFPA Michel Dubé. « Pour l’instant, nous occuperions le rez-de-chaussée. L’édifice nous permettrait d’une part d’avoir des bureaux adéquats, d’avoir accès à une petite salle de spectacle, d’avoir une place pour un comptable francophone. Éventuellement nous pourrions acquérir l’édifice. » Toutefois, aucun papier n’est signé et le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) fait partie de l’équation. En 1994, lors de la construction de l’école de Prince Albert, de l’espace avait été prévu pour les organismes fransaskois de Prince Albert. La communauté avait préalablement négocié pendant près de dix ans avec le gouvernement fédéral pour mettre en place le concept de centre scolaire communautaire. Les négociations ont permis de débloquer un chèque d’un million de dollars qui a été transféré au gouvernement provincial qui travaillait à mettre en place le réseau des écoles fransaskoises. L’argent a été investi dans le futur centre scolaire communautaire de Prince Albert. En 2013, l’École Valois manquant de place, la SCPFA a dû quitter l’établissement scolaire. Elle a conclu une entente avec le CÉF qui a permis à celui-ci de garder le capital investi dans l’édifice. En retour, en attendant la construction ou l’acquisition d’un nouvel édifice, le CÉF s’est engagé à payer le loyer de la Société. Par contre, la SCFPA a réalisé qu’elle se devait de promouvoir l’économie fransaskoise. « C’est absolument fou qu’une institution fransaskoise donne autant d'argent à un propriétaire anglophone qui n’a aucun lien avec la communauté francophone » explique Michel Dubé, sur les raisons d’un déménagement imminent. Un conseil d’administration complet Ça faisait déjà un moment que le conseil d’administration de la SCFPA n‘affichait pas complet. Trois nouveaux membres ont été élus lors de l’assemblée. Il s’agit de Louis-Marc Vincent, Thuy Nguyen et Dieudonné Nimubuna. Michel Dubé se réjouit de l’intérêt de la communauté de s’impliquer au sein de la Société. « Nous sommes contents qu’il y ait des personnes qui trouvent la Société assez prometteuse et intéressante pour s’embarquer dans cette aventure. De plus, il y a une variété d’expériences au tour de la table qui va amener une belle dynamique. » Une nouvelle employée En partenariat avec l’Association des parents fransaskois (APF), la SCFPA a embauché une employée commune aux deux organismes. Entrée en poste depuis le 21 juin dernier, Marine Seillier sera la coordonnatrice des activités à la société. À l’APF, elle travaillera essentiellement sur les relations avec les parents, à former un réseau de nouveaux parents et avec le Centre de ressources éducatives à la petite enfance (CRÉPE). Elle travaillera 10 heures à l’APF et 30 heures à la SCFPA. Michel Dubé s’attend à ce que les partenariats deviennent plus fréquents. « Si les organismes fransaskois continuent à vivre dans une situation financière précaire et très serrée, forcément tu es obligé d’être créatif et créer des partenariats bénéfiques pour toutes les parties concernées. » Partager Imprimer