25 mai Spectacle Le Chœur des plaines a chanté Brel et Offenbach SASKATOON - Le concert printannier du Choeur des Plaines mettait à l'honneur des oeuvres de Jacques Brel et Jacques Offenbach.
À la découverte de Michel Lalonde Entrevue réalisée avec Michel Lalonde pour À ciel ouvert, la revue littéraire des Prairies.
Réflexion à l'occasion de la fêtes des Mères La charge mentale : le fardeau des femmes Les mamans seront choyées le jour de la fête des Mères, le dimanche 13 mai. Mais le répit ne sera que de courte durée, car le fardeau de la...
Vivre le ramadan en fransaskoisie REGINA - Pour les membres de la communauté fransaskoise de confession musulmane, les semaines qui viennent revêtent une signification toute...
Cours sur les premiers soins en santé mentale MOOSE JAW - Les 5 et 6 mai derniers, une douzaine de personnes ont participé à une formation sur les premiers soins en santé mentale, animée par...
18 juin 2019 FAJEF 20207 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer