20 mars Santé Journée du mieux-être 2018 à Regina: la santé au menu Photo reportage sur la Journée du mieux-être 2018 de l’Association des Parents fransaskois (APF), du Réseau Santé en français de la...
Une création de Gilles Poulin-Denis au petit écran La pièce "Dehors" en version télé-théâtre Après avoir présenté ses créations sur des scènes un peu partout au pays, le dramaturge fransaskois, Gilles Poulin-Denis, verra pour la première...
L’Interligne ferme la revue Liaison et relance l’édition de livres Le joyau des Éditions L’Interligne, Liaison, est arrivé au bout du rouleau. La revue des arts de la francophonie hors Québec publie le 21...
Ces travailleurs de l’ombre qui nous éclairent ! Il y a de ces gens qui demeurent dans l’ombre, mais dont le travail est essentiel au succès des projets et des organisations.
Mourir dans la dignité au Canada : un droit qui prend ses marques Le 17 juin 2016, le gouvernement fédéral adoptait la loi autorisant l’aide médicale à mourir au Canada. Au 30 juin 2017, on comptait 2149...
13 septembre 2017 Pierre-Émile Claveau 35871 2017, CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, Éducation, Écoles fransaskoises, Petite enfance Les services de prématernelle fransaskois seront facturés Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle à la suite de la séance extraordinaire par audioconférence du 2 septembre dernier. Le président par intérim, Martin Prince, avait convoqué une séance extraordinaire afin d’avoir une franche discussion sur la question avant la rentrée scolaire, en présence de tous les conseillers. Certains élus ont fait part de leurs inquiétudes tandis que d’autres ont déclaré avoir eu, une rétroaction positive concernant la facturation de la prématernelle. Les frais pourraient s’élever à 80,88 $ par enfant par mois. Lors de la séance régulière du 31 mai dernier, le CÉF avait indiqué qu’il souhaitait obtenir un revenu de 158 000 $ à l’aide de la facturation en 2017-2018 et que la somme serait réinvestie dans l’animation culturelle, l’éducation à distance et la conciergerie. En séance régulière, le 8 septembre dernier, le CSF a décidé d’obtenir un avis juridique sur la légalité de la facturation des services de la prématernelle. De plus, les élus ont adopté une résolution afin que la somme recueillie soit investie uniquement dans les activités culturelles liées à la francisation. Monsieur Barry a soumis une proposition afin de revenir sur la décision du CSF d’imposer des frais à la prématernelle. Il a mis de l’avant que les conseillers n’avaient pas toutes les informations nécessaires lors de la décision et que le surplus budgétaire anticipé de l’année 2016-2017 pourrait couvrir les frais selon lui. Sa proposition n’a pu être adoptée, le vote s’étant soldé par une égalité de trois contre trois. La conseillère de Prince Albert, Geneviève Binette, était absente lors du vote. Un formulaire d’aide financière est mis à la disposition des familles qui seraient dans l’impossibilité de payer les frais. Rappelons que le 31 mai dernier, Martin Prince avait mandaté l’administration de trouver une solution pour les familles n’ayant pas les moyens de payer les frais. En date du 2 septembre, cinq formulaires ont déjà été envoyés et ils ont tous été approuvés. Les demandes proviennent des grands-centres. Certains conseillers scolaires du sud de la province craignent la compétition en milieu rural et que l’imposition de frais mensuels ait un impact négatif sur les inscriptions dans leur région. La conseillère de Gravelbourg, Maria Lepage, a mentionné que la prématernelle était gratuite dans une autre école. Par ailleurs, le pavillon élémentaire de l’École Monseigneur de Laval compte désormais cinq classes de prématernelle, une première dans l’histoire de l’établissement. En raison d’une hausse importante d’inscriptions à la rentrée, le personnel a dû réaménager les salles de classe. La bibliothèque a été déplacée au deuxième étage de l’édifice au cours de l’été. Partager Imprimer