2 février Coup d'oeil sur le monde Batoche, comme si vous y étiez Dans le roman Encountering Riel de David D. Orr, il n'y a ni bons ni méchants. C'est ce qui en fait la force.
Collaboration du Collège Mathieu, Saskatchewan Polytechnic et l'Université... Un soutien au développement de l’éducation postsecondaire en français Le Collège Mathieu, la Saskatchewan Polytechnic et l’Université de Regina ont signé une lettre d’intention visant la collaboration...
Journée des carrières en santé Le Consortium national de formation en santé de La Cité universitaire francophone de l’Université de Regina a organisé, pour la première...
Gala annuel de la diversité Deux entreprises codirigées par des Fransaskoises récompensées Deux entreprises locales distinctes, dont les copropriétaires sont des Fransaskoises, ont été récompensées lors du Gala annuel de la diversité...
Irène Chabot : hommage de trois membres de la communauté Hommages de trois membres de la communauté fransaskoise à Irène Chabot!
2 février 2018 Laurent Desrosiers 27917 2018, Histoire et patrimoine, Les timbrés Le Concorde, une merveille aéronautique Les Timbrés Notre dernière chronique mentionnait que la France et l’Angleterre avaient coopéré pour créer deux merveilles des temps modernes : le tunnel sous la Manche et le Concorde. Le Concorde était un aéronef extraordinaire. Son nom, « Concorde », signifie harmonie ou union. Il a été choisi pour souligner que la France et la Grande-Bretagne ont coopéré à 100 % pour produire ce chef-d’œuvre. Pour réaliser un tel avion, l’harmonie entre ces deux nations était essentielle. Elles en ont produit 20, y compris 6 prototypes. Il a trouvé sa place d’honneur sur plusieurs timbres. Qu’avait-il de spécial ? Sa vitesse de croisière était de Mach 2,02, soit 2,02 fois la vitesse du son. Il a été le seul avion commercial équipé de commandes de vol électriques analogiques. Deux des facteurs qui ont entraîné son retrait après 27 ans de service sont sa consommation très considérable de carburant et son boom sonique qui fracassait des fenêtres des édifices qu’il survolait. Seuls les gens les plus affluents pouvaient voyager sur le Concorde. En 1997, un billet de New York à Londres coûtait 7 995 $, soit 30 fois le prix d’un billet en classe touriste sur un avion ordinaire. Ce qui explique un taux de remplissage de seulement 20 %. Dans son livre Flying Concord, un pilote explique qu’il a décollé de Karachi à destination d’Athènes (direction ouest) peu après le lever du soleil. La vitesse du Concorde était telle que les passagers ont vu le soleil se coucher à l’est. D’Athènes vers Londres (direction nord-ouest), ils ont vu un deuxième lever de soleil. N’oublions pas que le Concorde parcourait en une heure plus de 15o du globe terrestre. Vous souvenez-vous de cette fois où le Concorde a atterri à Regina ? Je crois que c’était en 2003. La descente des passagers était impossible parce que les passerelles pour quitter l’avion ne pouvaient pas atteindre la porte du Concorde à cause de sa hauteur. On a dû utiliser un élévateur de fortune. L'ancienne Union soviétique est le seul autre pays à avoir développer un avion supersonique: le Tupolev TU-144. Il a été retiré après moins de deux ans de service. Partager Imprimer