13 octobre Gravelbourg La GRC malmène le français à Gravelbourg L’arrivée imminente de deux agents unilingues anglophones de la Gendarmerie royale du Canada au détachement de Gravelbourg...
Le bilinguisme fédéral selon Charles Le Blanc « Le français n’est pas pris au sérieux dans la fonction publique » À la suite du dévoilement par Radio-Canada d’un rapport interne sur le bilinguisme dans la fonction publique...
La grenouille léopard La grenouille léopard (Lithobates pipiens) était autrefois répandue partout en Alberta et dans les Prairies.
Place aux femmes : une initiative citoyenne et solidaire p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; text-align: justify; line-height: 13.0px; font: 11.0px 'Trebuchet MS'; -webkit-text-stroke: #000000}...
Netflix: Mélanie Joly est-elle encore crédible ? La ministre du Patrimoine a été critiquée pour une entente de 500 millions $ avec le producteur et diffuseur Netflix.
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21677 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer