14 septembre Histoire et patrimoine Société historique de la Saskatchewan Une nouvelle vie pour Les 100 noms Durant les festivités de la Fête fransaskoise, la Société historique de la Saskatchewan a lancé Les 100 Noms, la...
Rencontre formative d'artistes francophones à Banff Entr'arts: une expérience au-delà de l’art BANFF - 20 artistes ont participé à la sixième édition d'Entr'ARTS à Banff Centre, du 29 août au 5 septembre.
Aide financière disponible pour les familles à faible revenu Les services de prématernelle fransaskois seront facturés REGINA - Le Conseil des écoles fransaskoises a décidé de maintenir sa décision de facturer la prématernelle...
Rentrée scolaire 2017 Casse-tête dans trois écoles fransaskoises La rentrée scolaire est bel et bien amorcée en Saskatchewan. Toutefois, le Conseil des écoles fransaskoises doit composer...
Élections de l’ACF ACF : une nouvelle présidence à prévoir REGINA - La présidente de l'ACF ne briguera pas un troisième mandat à la présidence de l'ACF.
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27147 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer