13 avril Coup d'oeil sur le monde Les impacts du bombardement d'installations militaires syriennes par les... Syrie - Un coup de pied dans un nid de guêpes Les acteurs du conflit syrien sont nombreux et la situation est rendue encore plus complexe avec le bombardement par les États-Unis.
Les drapeaux francophones ont le vent en poupe dans l’Ouest ! Chaque année au mois de mars, la levée des drapeaux marque les Rendez-vous de la Francophonie.
Journée mondiale de l’eau et rivière Saskatchewan Le bassin versant de la rivière Saskatchewan (Nord et Sud), c’est-à-dire la portion de terre drainée par la...
Le printemps vu par les oiseaux Fermez les yeux. Écoutez. Est-ce que le cri de la bernache vous arrive à l’oreille? Ouvrez les yeux. Y voyez-vous...
Brillantine fait rayonner les talents de la Trinité VONDA - Le samedi 18 mars dernier, le groupe de théâtre communautaire Théâtre Trinité présentait...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27132 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer