13 avril Coup d'oeil sur le monde Les impacts du bombardement d'installations militaires syriennes par les... Syrie - Un coup de pied dans un nid de guêpes Les acteurs du conflit syrien sont nombreux et la situation est rendue encore plus complexe avec le bombardement par les États-Unis.
Les drapeaux francophones ont le vent en poupe dans l’Ouest ! Chaque année au mois de mars, la levée des drapeaux marque les Rendez-vous de la Francophonie.
Journée mondiale de l’eau et rivière Saskatchewan Le bassin versant de la rivière Saskatchewan (Nord et Sud), c’est-à-dire la portion de terre drainée par la...
Le printemps vu par les oiseaux Fermez les yeux. Écoutez. Est-ce que le cri de la bernache vous arrive à l’oreille? Ouvrez les yeux. Y voyez-vous...
Brillantine fait rayonner les talents de la Trinité VONDA - Le samedi 18 mars dernier, le groupe de théâtre communautaire Théâtre Trinité présentait...
18 juin 2019 FAJEF 20144 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer