Écoles fransaskoises 2 décembre 2016 Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg
2 décembre Politique Trump: lendemain d'élection Il ne gagnera pas, que je disais. Que se passera-t-il s'il ne reconnaît pas sa défaite, que je demandais. La question était légitime mais la...
Les enjeux du financement Toutes les personnes impliquées dans le réseau associatif vont vous le dire: si à un certain moment il ne restait que la peau...
PONTEIX au festival M pour Montréal MONTRÉAL - Samedi le 19 novembre dernier, dans le cadre du festival M pour Montréal, s'est produit le groupe saskatchewannais...
Réactions mitigées au décès de Fidel Castro Réactions d'un peu partout dans le monde au décès de Fidel Castro, le père de la Révolution cubaine, mort...
Assemblée annuelle du Conseil culturel fransaskois Naviguer entre le communautaire et le professionnel SASKATOON - Une quarantaine d’artistes et représentants d’organismes fransaskois ont assisté à...
18 juin 2019 FAJEF 20126 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer