15 juin Communautaire Mesurer le mieux-être de la communauté fransaskoise Mise à jour Plan de développement global de la communauté fransaskoise Bien qu’il soit resté similaire à sa dernière version datant de 2010, le PDG version 2016 a été sujet...
Conférence du Pr Rodrigue Landry au Forum santé 2016 Comment revitaliser le « village gaulois » ou le modèle de l’autonomie culturelle en Saskatchewan ? REGINA - « La francophonie en Saskatchewan et le défi de l’autonomie culturelle ». C’est autour de...
Forum santé 2016 à Regina Un réseau santé bien branché…pour une meilleure santé en français REGINA - Le Forum santé 2016 du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) s’est tenu les 27 et 28 mai...
Baluchon Alzheimer: éviter l’épuisement des aidants SASKATOON - En Saskatchewan, plus de 19 000 personnes vivent avec une démence comme la maladie d’Alzheimer. Prendre soin de ces...
AGA du Réseau Santé en français de la Saskatchewan Réseau Santé : cap sur les ressources humaines REGINA - En regardant vers l’avenir, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) met l’accent sur...
28 septembre 2017 Laurent Desrosiers 28108 2017, Histoire et patrimoine, Les timbrés Champlain sur un timbre canadien de 1 $ Nous avons tous vu l’image de Champlain dans des manuels scolaires, dans des revues historiques ou ailleurs. Mais savez-vous qu’un portrait authentique de Champlain n’existe pas? Son image n’a jamais existé. Quand nous voyons l’image de Champlain, c’est un portrait de Michel Particelli, par l’artiste Moncornet, réalisé en 1654. Particelli était un italien, courtisan surintendant des finances sous Louis XIII et Louis XIV. Cette fausse image a fait son apparition en 1854. En dépit de tous les faits, les historiens persistent à utiliser ce tableau pour représenter Samuel de Champlain. Dans le Vieux-Québec, sur la Terrasse Dufferin près du Château Frontenac, se trouve un magnifique monument de Champlain. Le projet de l’érection de ce monument au fondateur de la Ville de Québec date de 1850. Le projet est relancé en 1867 et 1879 mais il n’aboutit pas, faute de financement. En 1880, le président de la Société St-Jean-Baptiste de Québec, Jules Tessier, forme un comité sous la présidence du juge Alexandre Chauveau et enfin le projet se réalise. Paul-Romain Chevré gagne le concours lancé pour choisir un sculpteur et réalise le Champlain que nous reconnaissons aujourd’hui. Au début on l’appelle « le mousquetaire triste ». Ces critiques sont tôt oubliées. L’œuvre a fait la renommée du jeune sculpteur. Le monument mesure 16 mètres et la statue de Champlain mesure 4½ mètres. Les tableaux du piédestal montrent des scènes de la Ville de Québec. Le timbre du monument de Champlain est un classique de format horizontal. Le mot « Canada » est dans un bannière horizontale arquée, ce qui caractérise le groupe des timbres classiques. C’est un timbre monochrome bleu pâle de 1 $, une valeur considérable pour 1935. Une autre statue de Champlain se trouve près du pont interprovincial qui relit Ottawa à Hull, à l’arrière du Musée des beaux-arts du Canada. Annette et moi l’avons visité en juin dernier. C’est une statue de Champlain explorateur, géographe, et cartographe. Il tient à la main son astrolabe, l’instrument du cartographe. Sa pose n’est pas une pose d’un Champlain qui fait usage de l’astrolabe mais d’un Champlain qui montre l’instrument aux observateurs. De fait, l’astrolabe est à l’envers dans sa main. La statue est exactement à l’endroit ou Champlain a utilisé son astrolabe en 1615 quand il explorait la vallée de l’Outaouais. Elle a été sculptée par Hamilton MacCarthy à l’occasion de 300e anniversaire du 2e voyage de Champlain dans la vallée de la rivière des Outaouais. Partager Imprimer