25 avril Politique La ministre du Patrimoine et la politique culturelle à l'ère numérique La ministre du Patrimoine canadien affirme que la "pierre angulaire" de son mandat sera d'adapter la politique culturelle du pays aux...
Rencontre avec Yvan Lebel Un ancien président du CSF se prononce « Est-ce qu’on pense à nos jeunes dans tout ça ? » C’est le cri du cœur d’Yvan...
Coup d'oeil sur la programmation Cinergie 2016 : tout le monde y trouvera son compte ! Coup d'oeil sur les films qui seront projetés au Festival Cinergie 2016 à Saskatoon.
Cinq jours de cinéma en français à Saskatoon Lancement de la programmation du festival Cinergie SASKATOON - Le Festival CINERGIE prendra l’affiche du 3 au 7 mai 2016 au cinéma Roxy Theatre sur la 20ème avenue à...
Dur lendemain de veille au NPD Le 10 avril dernier, le NPD a, pour la première fois de son histoire, montré la porte à son chef.
18 juin 2019 FAJEF 20044 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer