24 mars Écoles fransaskoises Foire du Patrimoine à Mgr de Laval Les élèves de la 4ème à la 7ème année de l'École Monseigneur de Laval ont tenu leur Foire du...
Immigration L'École Beau Soleil et l'École Mathieu de Gravelbourg soulignent le Mois de l’histoire des Noirs
Une visite au village sous la canicule Au nom de l'eau Lors de mon séjour au village en Côte d’Ivoire, au mois de février, il m’a été donné de voir,...
Guy Michaud promet un « maudit bon show » À toi pour toujours ta Marie-Lou de Michel Tremblay à Regina REGINA - Rencontre avec le metteur en scène Guy Michaud
Le directeur du Collège, Francis Kasongo, dresse un bilan positif Mission de recrutement du Collège Mathieu à l'étranger La mission de recrutement international ciblait l’Afrique francophone de l’Ouest avec pour objectif essentiel, faire de la promotion...
Jessie Guraliuck de la Cité universitaire parmi les cinq gagnants au Canada Une étudiante de Regina lauréate du concours "Ma francophonie en 3 D" Jessie Guraliuck, étudiante au Bac en éducation à la Cité universitaire francophone de l'Université...
18 juin 2019 FAJEF 20044 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer