Agriculture et environnement 3 février 2016 Première rencontre des ministres de l'environnement en dix ans La Saskatchewan est la grande récalcitrante Les ministres de l'Environnement du pays se sont contentés d'annoncer leur désir de collaborer encore, à la suite d'une première rencontre en 10 ans, à Ottawa, le vendredi 29 janvier.
2 février La Troupe du Jour Ian C. Nelson partage ses impressions de la plus récente production de La... Le reflet d'une lune éclatante... …c’est-à-dire éclatante comme l’explosion des obus qui annoncent la deuxième guerre mondiale...
Le gouvernement fédéral promet d'injecter des fonds supplémentaires Ottawa a été injuste à l'endroit des enfants autochtones, selon le TCDP OTTAWA - Le gouvernement fédéral a fait preuve de discrimination raciale envers les enfants sur les réserves autochtones dans...
Dix artistes on participé à Tremplin pro du Conseil culturel fransaskois Une fin de semaine de formation pour les artistes fransaskois Ce sont dix artistes de la musique qui se sont réunis à Regina les 23 et 24 janvier 2016 afin de bénéficier de la...
Le Comité consultatif en matières d'affaires francophone publie son 11e rapport Dépôt d'un rapport sur l'immigration francophone en Saskatchewan Le Comité consultatif en matière d’affaires francophones a déposé, en janvier 2016, son 11e rapport....
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de...
18 août 2016 Jean-Pierre Picard 36415 2016, SRC - Saskatchewan, Communication Radio-Canada supprime le Midi plus/Saskatchewan L'érosion des services d'information en français dans l'Ouest se poursuit Fin du Midi plus/Saskatchewan Dans un communiqué, la Guilde canadienne des médias exprime sont mécontentement suite à l'annonce que CBC/Radio-Canada va supprimer les émissions quotidiennes de 30 minutes d’informations et d’affaires publiques à l’heure du midi, des émissions desservant les minorités francophones de l'Ouest du pays. « La suppression d’émissions importantes pour les communautés francophones est une décision peu judicieuse », a déclaré Carmel Smyth, la présidente de la Guilde canadienne des médias. C’est aussi un manque d’égard flagrant que de supprimer ces émissions et les remplacer par une émission de Montréal ». Mme Smyth a ajouté que la suppression d’émissions intervient alors que Radio Canada a reçu des fonds supplémentaires: « Nous avions espéré que ces fonds seraient consacrés à accroître les informations et la programmation locales, tant à la radio qu’à la télévision, puisque les sondages montrent que ces médias continuent de l’emporter sur les émissions uniquement en ligne » a-t-elle déclaré. Pourtant, Pierre Guérin, le directeur général des Services français de Radio-Canada pour les régions de l'Ouest, évoque le déplacement de l'achalandage vers les plateformes numériques pour justifier cette décision. « Ça devient une décision importante de répondre à cette demande-là de façon plus efficace que par l'entremise de la radio » a-t-il affirmé. Mais en quoi la diffusion en Saskatchewan d'une émission montréalaise à l'heure du midi contribue au virage numérique. Y aurait-il confusion entre numérique et contenu? Le numérique, malgré son incroyable flexibilité, n’est qu’un outil de diffusion. À la base il faut l'alimenter avec du contenu (à ne pas confondre avec une succession de tweets). L’émission Midi plus Saskatchewan permettait la création de contenu avec la production d’excellentes entrevues qu’il était possible de consulter sur les plateformes numériques au moment choisi après leur diffusion en ondes. Monsieur Guérin s’est fait discret sur ce qui allait remplacer l’émission du midi, se contentant de déclarer que « que les ressources qui étaient attitrées à ces émissions seront affectées à d'autres tâches». La présidente de l'Assemblée communautaire fransaskoise, Françoise Sigur-Cloutier, n'apprécie pas la façon dont l'annonce a été faite. « Ces décisions-là ont dû être prises il y a un certain temps et auraient peut-être dû circuler pour voir de quelle façon est-ce qu'on pouvait se positionner face à ça », a-t-elle déclaré en entrevue à Radio-Canada. Surtout que le 30 mai 2016 la SRC a procédé à un exercice de « consultation » avec la population. Il est regrettable que notre diffuseur n’ait pas profité de l’exercice pour sonder les réactions face à l’abolition d’une des rares émissions d’information locales francophones dans l’Ouest. Balises SRCSRC coupures Partager Imprimer