Prince Albert 11 novembre 2015 La bibliothèque municipale de Prince Albert poursuit son ouverture francophone Pour la deuxième année consécutive, la bibliothèque municipale John M. Cuelenaere s’associe aux activités francophones proposées par la Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA). À Prince Albert, la bibliothèque municipale s’identifie comme un service public ouvert à toutes...
11 novembre Arts et culture La Raquette à claquettes, 20 ans de diversité et de grivoiserie Après son traditionnel banquet, samedi à Regina, le Rendez-vous fransaskois a accueilli sur scène le groupe La Raquette...
Les Fous du roi, lorsque l’histoire rencontre la fiction La pièce Les Fous du roi du Théâtre Oskana a été présentée quatre fois du 5 au 8 novembre dernier....
Les toiles de Pellan retrouvent leur place d'origine aux Affaires étrangères Les deux toiles du peintre québécois Alfred Pellan qui avaient été détrônées en 2011par un...
Calgary deviendra-t-elle une ville bilingue? CALGARY - Le conseiller municipal de Calgary, Brian Pincott, a affirmé sa volonté, lors de son passage à Québec pour...
Marie-Claude Bibeau est nommée ministre du Développement international et de... Patrimoine et Langues officielles : Mélanie Joly succède à Shelly Glover OTTAWA – Le hasard fait parfois bien les choses. Le premier ministre canadien nouvellement élu, Justin Trudeau, a...
10 septembre 2015 Sébastien Németh 21438 2015, Éditorial, Bénévolat Plus le temps Réflexion sur le bénévolat Nous n’avons plus le temps de rien. Plus le temps de mobiliser son énergie pour organiser notre évènement communautaire. Plus le temps de passer des heures en réunion pour faire germer les contours du projet. Plus le temps de rester devant l’ordinateur, à se gratter le cuir chevelu pour écrire la demande de subvention. Plus le temps de remplir les fichiers informatiques, calculette à la main, pour évaluer son budget. Plus le temps pour surveiller fébrilement le compte en banque et vérifier l’arrivée de l’argent. Si un évènement a lieu, nous n’avons plus le temps de battre le rappel pour que les autres viennent aider à préparer la salle. Plus le temps d’installer les tables, les chaises. Plus le temps d’aller au supermarché acheter la bouffe pour 250 personnes affamées. Plus le temps de s’installer en cuisine pour émincer, découper, éplucher, trancher, saupoudrer…bref…pour préparer quelque chose et nourrir les visiteurs. Plus le temps d’enfiler un tablier et d’empoigner une louche pour servir les spectateurs. Plus le temps de passer la soirée, l’oreille collée au combiné téléphonique pour réclamer des dons. Plus le temps d’enfiler un T-shirt fluo pour renseigner et guider les gens (avec le sourire). Plus le temps de rester jusqu’à 2 h du matin pour ranger, nettoyer, éponger et laver la salle. Plus le temps de s’engager dans un conseil d’administration. Plus le temps d’examiner des finances abstraites qui diminuent comme peau de chagrin. Plus le temps d’orienter des décisions stratégiques. Plus le temps de concilier bénévolat, travail, loisir et vie de famille. Et si le bénévolat, le soutien à son groupe, c’était tout ça à la fois? Et si la communauté c’était le travail et le loisir? Et si la communauté c’était une famille? La communauté c’est nous. Nous sommes la communauté. Lui consacrer du temps, c’est se donner du temps à soi. Partager Imprimer