18 juin Autochtones / Métis Génocide culturel: les francophones solidaires et oppresseurs Le régime de génocide culturel des autochtones, lancé en 1870, aura duré plus d’un siècle. Comment les...
Lancement d'un album bilingue Les flûtes enchantées de Combine, le premier album de QuarterTones REGINA - Mercredi le 10 juin 2015 avait lieu au Crave à Regina le lancement de l'album Combine de l'ensemble de flûtes...
Faire face aux différents défis des communautés francophones Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la...
L’ACF amorce une série d’ateliers pour faciliter l'intégration des immigrants Les employés de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) inauguraient le lundi 15 juin 2015 un nouveau programme visant...
Vue des coulisses Un regard intime sur Madame Butterfly à l'Opéra de Saskatoon SASKATOON - Je vous convie aujourd’hui pour un survol rapide avec Saskatoon Opera de notre production de Madame Butterfly de Puccini.
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 27007 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer