Santé 9 avril 2015 Le cerveau aussi a besoin d’exercice Depuis les années 80, beaucoup d’études tendent à démontrer que plus nous avons des activités variées, plus nous gardons notre cerveau actif. La mémoire en est la première bénéficiaire.
9 avril Communication Nouvelles de la Coopérative des publications fransaskoises et de l’Eau vive Le conseil d'administration de la Coopérative des publications fransaskoises souhaite vous faire part de quelques nouveautés et...
Collèges et universités francophones s’unissent Désirant se doter d’une voix plus forte, les institutions d’enseignement postsecondaire de la francophonie canadienne ont...
L’immersion a la cote malgré ses lacunes Dépassé, élitiste et source de division, le système d’immersion française en place dans les écoles...
Entretiens avec des Fransaskois vivant au Québec – 2e partie Anique Granger: une artiste aux couleurs fransaskoises Anique Granger est une auteure-compositeure-interprète bien connue en Saskatchewan. Originaire de Saskatoon, elle vit au Québec...
Élections fédérales : L’immigration, le nerf de la guerre Les élections fédérales n’auront peut-être lieu que dans six mois mais déjà, différents...
18 août 2016 Jean-Pierre Picard 36234 2016, SRC - Saskatchewan, Communication Radio-Canada supprime le Midi plus/Saskatchewan L'érosion des services d'information en français dans l'Ouest se poursuit Fin du Midi plus/Saskatchewan Dans un communiqué, la Guilde canadienne des médias exprime sont mécontentement suite à l'annonce que CBC/Radio-Canada va supprimer les émissions quotidiennes de 30 minutes d’informations et d’affaires publiques à l’heure du midi, des émissions desservant les minorités francophones de l'Ouest du pays. « La suppression d’émissions importantes pour les communautés francophones est une décision peu judicieuse », a déclaré Carmel Smyth, la présidente de la Guilde canadienne des médias. C’est aussi un manque d’égard flagrant que de supprimer ces émissions et les remplacer par une émission de Montréal ». Mme Smyth a ajouté que la suppression d’émissions intervient alors que Radio Canada a reçu des fonds supplémentaires: « Nous avions espéré que ces fonds seraient consacrés à accroître les informations et la programmation locales, tant à la radio qu’à la télévision, puisque les sondages montrent que ces médias continuent de l’emporter sur les émissions uniquement en ligne » a-t-elle déclaré. Pourtant, Pierre Guérin, le directeur général des Services français de Radio-Canada pour les régions de l'Ouest, évoque le déplacement de l'achalandage vers les plateformes numériques pour justifier cette décision. « Ça devient une décision importante de répondre à cette demande-là de façon plus efficace que par l'entremise de la radio » a-t-il affirmé. Mais en quoi la diffusion en Saskatchewan d'une émission montréalaise à l'heure du midi contribue au virage numérique. Y aurait-il confusion entre numérique et contenu? Le numérique, malgré son incroyable flexibilité, n’est qu’un outil de diffusion. À la base il faut l'alimenter avec du contenu (à ne pas confondre avec une succession de tweets). L’émission Midi plus Saskatchewan permettait la création de contenu avec la production d’excellentes entrevues qu’il était possible de consulter sur les plateformes numériques au moment choisi après leur diffusion en ondes. Monsieur Guérin s’est fait discret sur ce qui allait remplacer l’émission du midi, se contentant de déclarer que « que les ressources qui étaient attitrées à ces émissions seront affectées à d'autres tâches». La présidente de l'Assemblée communautaire fransaskoise, Françoise Sigur-Cloutier, n'apprécie pas la façon dont l'annonce a été faite. « Ces décisions-là ont dû être prises il y a un certain temps et auraient peut-être dû circuler pour voir de quelle façon est-ce qu'on pouvait se positionner face à ça », a-t-elle déclaré en entrevue à Radio-Canada. Surtout que le 30 mai 2016 la SRC a procédé à un exercice de « consultation » avec la population. Il est regrettable que notre diffuseur n’ait pas profité de l’exercice pour sonder les réactions face à l’abolition d’une des rares émissions d’information locales francophones dans l’Ouest. Balises SRCSRC coupures Partager Imprimer