Santé 9 avril 2015 Le cerveau aussi a besoin d’exercice Depuis les années 80, beaucoup d’études tendent à démontrer que plus nous avons des activités variées, plus nous gardons notre cerveau actif. La mémoire en est la première bénéficiaire.
9 avril Communication Nouvelles de la Coopérative des publications fransaskoises et de l’Eau vive Le conseil d'administration de la Coopérative des publications fransaskoises souhaite vous faire part de quelques nouveautés et...
Collèges et universités francophones s’unissent Désirant se doter d’une voix plus forte, les institutions d’enseignement postsecondaire de la francophonie canadienne ont...
L’immersion a la cote malgré ses lacunes Dépassé, élitiste et source de division, le système d’immersion française en place dans les écoles...
Entretiens avec des Fransaskois vivant au Québec – 2e partie Anique Granger: une artiste aux couleurs fransaskoises Anique Granger est une auteure-compositeure-interprète bien connue en Saskatchewan. Originaire de Saskatoon, elle vit au Québec...
Élections fédérales : L’immigration, le nerf de la guerre Les élections fédérales n’auront peut-être lieu que dans six mois mais déjà, différents...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26986 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer