19 février Politique La nomination de Rob Nicholson mal accueillie par les communautés francophones La nomination de Rob Nicholson au poste de ministre des Affaires étrangères a été accueillie comme une douche froide....
Un coup de théâtre communautaire à la Troupe du jour Le théâtre communautaire de la Troupe du Jour (LTDJ) vient de renaitre avec sa production du Jeu de l’amour et du...
Programme de stagiaires agricoles Odyssée Agri 2015 Odyssée Agri est un organisme privé français dont la mission est de proposer des stages agricoles à l'étranger....
Perspectives agricoles FAC 2015 : un bilan plutôt favorable pour l’agriculture Perspectives agricoles FAC 2015, un événement d’apprentissage gratuit de Financement agricole Canada (FAC) destiné aux...
Une visite à Over the Hill Orchards LUMSDEN - L’aventure d'Over the Hill Orchards a commencé il y a quinze ans, et il est assez extraordinaire de constater...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26969 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer