Écoles fransaskoises 27 novembre 2014 Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais
27 novembre Éducation Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise? La participation électorale a chuté et des conseils scolaires en milieu minoritaire gouvernent sans l’intérêt du...
Un goût de développement local PRINCE-ALBERT - Les 21 et 22 novembre 2014, à l’hôtel Travelodge de Prince Albert, ont eu lieu des présentations...
Entretien avec la Directrice de la Fédération des aînés fransaskois « La situation des aînés, c’est un scandale de notre société! » À l’occasion du 5 à 7 organisé par la Fédération des aînés fransaskois (FAF) à...
Le Rendez-vous fransaskois : cet événement qui était communautaire et familial... Il y a quelques jours, lors du Rendez-Vous fransaskois, il a été question du continuum en éducation. Cet...
Déficience au niveau de l’accueil et de l’intégration Immigration francophone : Le déficit s’accentue L’immigration continue d’être au centre des préoccupations des communautés de langue française au pays...
17 décembre 2018 Laurent Desrosiers 26952 Archives, 2018, Les timbrés Timbres créés par des prisonniers pour Noël Timbres créés par des prisonniers pour Noël The Catholic Register du 18 novembre nous annonce cinq nouveaux timbres de Noël pour la Cité du Vatican. « Est-ce une surprise ? » vous me demandez. Oui et non. À ce temps-ci de l’année, on s’attend à ce que pratiquement tous les États produisent des nouveaux timbres pour commémorer Noël. La surprise est que les modèles, c’est-à-dire les peintures qui les ont inspirées sont le produit du pinceau d’un prisonnier condamné à perpétuité dans un pénitencier de Milan, Italie. Mauro Olivieri, chef du Bureau philatélique du Vatican dit que « confier la création des nouveaux timbres de Noël à un prisonnier condamné à perpétuité est un signe d’espoir, de confiance et de foi dans son prochain, de comprendre son habilité d’admettre le mal qu’il a fait et de se réhabiliter. ». Marcello D’Agata est l’artiste. Le choix d’œuvres de cet artiste est une réaction à un appel du Pape François à la compassion envers les prisonniers et à faire plus d’efforts pour faire comprendre que la prison n’est pas la fin d’une vie criminelle, mais le commencement d’une vie nouvelle. Au cours de sa jeunesse, D’Agata ne pouvait pas résister à l’envie de dessiner dès qu’il se trouvait devant une feuille de papier. « Mais ce n’était que du barbouillage ! » affirme-t-il. Les choses ont changé en 2013, quand la direction du pénitencier a accordé à un groupe de prisonniers le privilège de poursuivre des cours d’art graphique. La peinture est maintenant plus qu’un hobby pour D’Agata. Elle permet à son imagination de s’échapper des murs de la prison. « L’amour de l’art », dit D’Agata, « a réveillé en moi la partie de moi-même que j’ignorais parce qu’elle était cachée par les ténèbres qui ont dérobé ma vie ». L’illustration ci-dessous nous montre D’Agata mettant les touches finales à une peinture de Marie regardant vers le ciel pendant que l’archange Gabriel approche avec un bouquet de lys blancs. Partager Imprimer