19 avril Autochtones / Métis L’auto-autochtonisation, ou quand l’ascendance autochtone est détournée Le 4 avril dernier à la Rotonde de la Cité universitaire francophone, le professeur Darryl Leroux a lancé son livre Ascendance détournée : quand...
Message du directeur général du CÉF. Être parent, c’est accepter de travailler dans l’ombre des centaines, voire des milliers d’heures afin de veiller à la réussite...
La Raquette à Claquettes de retour sur scène Le groupe de musique La Raquette à Claquettes a fait son grand retour au Bistro du Carrefour des Plaines de Regina le 31 mars. Après s’être...
Éditions de la nouvelle plume : fin de chapitre pour Martine Noël-Maw Après quatorze mois, Martine Noël-Maw a quitté la direction générale des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) le 31 mars. Dans un entretien avec...
L’enseignement de demain sera-t-il « dialogique » ? Précurseur et prêcheur de l’approche dialogique en enseignement depuis 36 ans, le professeur Norman Cornett était l’invité...
22 juin 2017 Pierre-Émile Claveau 32400 2017, ALEF (Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois), CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, Éducation, Écoles fransaskoises Gilles Groleau récompensé Une carrière consacrée à l'éducation en français Gilles Groleau recevant le prix Dubois-Leblanc au Congrès 2017 de l'ALEF De gauche à droite: Donna Lajeunesse (directrice adjointe à Mgr de Laval-Regina et président de l’ALEF); Gilles Groleau (conseiller CÉF/en prêt de services au Ministère de l'Éducation) et Frankie LaClare (coordonnatrice des ressources humaines au CÉF) Photo : CÉF REGINA - La fin de l’année scolaire approche à grands pas. Afin de souligner l'implication de Gilles Groleau dans l’éducation francophone en Saskatchewan, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) lui a remis le prix Dubois-Leblanc lors de son Congrès 2017 en avril dernier. Gilles Groleau s’est vu remettre le prix Dubois-Leblanc afin de reconnaître et souligner la qualité de son engagement au niveau du perfectionnement professionnel des enseignants dans les écoles fransaskoises. Il a été flatté de recevoir ce prix puisqu’il s’agit d’une récompense provenant de ses pairs. « Pour avoir vraiment le pouls d’une salle de classe, tu dois aller chercher les enseignants et travailler avec eux.» Ayant été lui-même enseignant jusqu’en 1998, Gilles Groleau comprend la dure réalité d’être professeur. Le Trifluvien a travaillé de concert avec les enseignants du Conseil des écoles fransaskoises et a offert des ateliers et des formations afin de bien les outiller face au développement des programmes d’études. Le ministère de l’Éducation a également pu bénéficier du travail accompli par Monsieur Groleau. De plus, l’homme dont la retraite approche a développé un guide de roman. En charge des renouvellements des programmes d’études dont la langue première est le français, il travaille présentement à l’écriture des programmes pour le ministère. Un prix bien mérité « Ça représente beaucoup à mes yeux. Je suis en fin de carrière et je me dis que c’est un bel honneur et c’est un beau prix de recevoir une récompense comme celle-ci. » explique-t-il. Il s’est également vu remettre un certificat de reconnaissance pour son implication dans l’éducation fransaskoise. Trois autres certificats ont été décernés à Lisette Préfontaine, Viviane Lesko et Denis Chevrier. Lors du congrès, l’enseignant retraité de l’École St-Isidore de Bellevue Ronald Tessier a été le récipiendaire du prix Onésime-Dorval en reconnaissance pour son travail comme éducateur fransaskois d’exception. Balises Gilles Groleauprix Dubois-LeblancALEF Partager Imprimer