7 décembre Chronique environnement La chouette lapone, ou la quête d’un oiseau mythique Cette semaine, la chronique environnement d'Arthur Béague parle d'un mythe, une quête pour certains, et un rêve inaccessible pour...
Les symptômes post-pandémie: L’éternel maintenant La pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les fondations de nos vies en morceaux.
Le lexique, un reflet des modes de vie La langue évoluant avec les modes de vie, l’exode rural subi par les communautés francophones de la province au cours du 20e siècle a...
La présence ténue du Canada en Afrique est un frein à l’immigration La faisabilité pour les aspirants à l’immigration au Canada de déposer leur dossier de candidature laisse a désirer en Afrique francophone,
De Lord Byrun à Byrun Beets, une quête d’authenticité L’auteur-compositeur-interprète et artiste multidisciplinaire fransaskois Byrun Boutin-Maloney, alias Lord Byrun, se présente désormais sous...
22 juin 2017 Pierre-Émile Claveau 32523 2017, ALEF (Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois), CÉF - Conseil des écoles fransaskoises, Éducation, Écoles fransaskoises Gilles Groleau récompensé Une carrière consacrée à l'éducation en français Gilles Groleau recevant le prix Dubois-Leblanc au Congrès 2017 de l'ALEF De gauche à droite: Donna Lajeunesse (directrice adjointe à Mgr de Laval-Regina et président de l’ALEF); Gilles Groleau (conseiller CÉF/en prêt de services au Ministère de l'Éducation) et Frankie LaClare (coordonnatrice des ressources humaines au CÉF) Photo : CÉF REGINA - La fin de l’année scolaire approche à grands pas. Afin de souligner l'implication de Gilles Groleau dans l’éducation francophone en Saskatchewan, l’Association locale des enseignantes et enseignants fransaskois (ALEF) lui a remis le prix Dubois-Leblanc lors de son Congrès 2017 en avril dernier. Gilles Groleau s’est vu remettre le prix Dubois-Leblanc afin de reconnaître et souligner la qualité de son engagement au niveau du perfectionnement professionnel des enseignants dans les écoles fransaskoises. Il a été flatté de recevoir ce prix puisqu’il s’agit d’une récompense provenant de ses pairs. « Pour avoir vraiment le pouls d’une salle de classe, tu dois aller chercher les enseignants et travailler avec eux.» Ayant été lui-même enseignant jusqu’en 1998, Gilles Groleau comprend la dure réalité d’être professeur. Le Trifluvien a travaillé de concert avec les enseignants du Conseil des écoles fransaskoises et a offert des ateliers et des formations afin de bien les outiller face au développement des programmes d’études. Le ministère de l’Éducation a également pu bénéficier du travail accompli par Monsieur Groleau. De plus, l’homme dont la retraite approche a développé un guide de roman. En charge des renouvellements des programmes d’études dont la langue première est le français, il travaille présentement à l’écriture des programmes pour le ministère. Un prix bien mérité « Ça représente beaucoup à mes yeux. Je suis en fin de carrière et je me dis que c’est un bel honneur et c’est un beau prix de recevoir une récompense comme celle-ci. » explique-t-il. Il s’est également vu remettre un certificat de reconnaissance pour son implication dans l’éducation fransaskoise. Trois autres certificats ont été décernés à Lisette Préfontaine, Viviane Lesko et Denis Chevrier. Lors du congrès, l’enseignant retraité de l’École St-Isidore de Bellevue Ronald Tessier a été le récipiendaire du prix Onésime-Dorval en reconnaissance pour son travail comme éducateur fransaskois d’exception. Balises Gilles Groleauprix Dubois-LeblancALEF Partager Imprimer