7 décembre Chronique environnement La chouette lapone, ou la quête d’un oiseau mythique Cette semaine, la chronique environnement d'Arthur Béague parle d'un mythe, une quête pour certains, et un rêve inaccessible pour...
Les symptômes post-pandémie: L’éternel maintenant La pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les fondations de nos vies en morceaux.
Le lexique, un reflet des modes de vie La langue évoluant avec les modes de vie, l’exode rural subi par les communautés francophones de la province au cours du 20e siècle a...
La présence ténue du Canada en Afrique est un frein à l’immigration La faisabilité pour les aspirants à l’immigration au Canada de déposer leur dossier de candidature laisse a désirer en Afrique francophone,
De Lord Byrun à Byrun Beets, une quête d’authenticité L’auteur-compositeur-interprète et artiste multidisciplinaire fransaskois Byrun Boutin-Maloney, alias Lord Byrun, se présente désormais sous...
3 avril 2019 Laurent Desrosiers 23773 2019, Les timbrés Connaissez-vous Barry Humphries ? Récemment, je triais des timbres d’Australie. Je suis tombé sur un jeu de cinq timbres qui se prêtaient à une bonne histoire. Ce jeu de timbres comprend un monsieur et quatre dames. Je me suis questionné sur ce monsieur à la physionomie virile parmi ces dames. Voici ce que j’ai découvert. Barry Humphries regorge de talents. Pendant cinquante ans, il a été acteur dramatique et comique, satiriste, écrivain, peintre paysagiste, musicien et producteur de cinéma pour le théâtre et pour la télévision. Humphries est un lecteur avide. Il possède une collection d’environ 25 000 volumes. Comme artiste paysagiste, il possède aussi une collection considérable de toiles. Barry Humphries a 85 ans. Dès sa tendre et heureuse enfance, il a démontré un grand intérêt pour l’industrie du spectacle. Il avait accumulé un plein coffre de costumes et il improvisait des sketchs pour amuser sa famille. Toute sa vie a été un tourbillon d’activités. Deux de ses quatre mariages ont échoué à cause de l'alcool. Mais enfin, il a abandonné la bouteille. En plus de parcourir l’Australie dans tout les sens, il a donné des spectacles dans plusieurs pays : Allemagne, Nouvelle-Zélande, Hollande, Moyen-Orient, Extrême-Orient, États-Unis, Grande-Bretagne. Il a créé Norma, Edna et Dame Everage, des caractères fictifs qu’il personnifiait dans des skits satiriques. Il a été décoré à maintes reprises. Cinq timbres sont à son effigie et l’Australie a même créé une pièce de 50 ¢ avec le portrait couleur de Dame Everage. Voici deux de ses propos satiriques : « Mes parents étaient fiers que je sois dans l’armée. Le fait que je le haïssais leur plaisait encore plus. » « La plupart de mes contemporains sont entrés dans le monde des affaires, la destinée logique des ennuyés. » Partager Imprimer