Urgence français

au Pavillon secondaire des Quatre Vents

Urgence français, l’heure est grave. Les médecins au chevet du malade.

Urgence français, l’heure est grave. Les médecins au chevet du malade.

Photo : Alexandre Daubisse

C’est appuyé des rires du public de la salle que les membres de la troupe de théâtre du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), de l’école Monseigneur de Laval à Regina, ont présenté cette pièce originale. En faisant l’usage ingénieux de la technologie, les acteurs nous ont projetés à différents endroits, sans même sortir de scène! En effet, « Urgence-français » présentait en avant-scène une équipe de professionnels médicaux qui étudient le nouveau « mot » qui court : la dégradation de la langue française. À travers leur microscope, ces spécialistes analysent différents échantillons qui leur permettent de visualiser sur écran des scènes provenant de différentes époques (que les acteurs ont bien entendu tournées d’avance). C’est donc en alternant entre le jeu en direct et les vidéos projetées sur écran que nous découvrons avec eux la menace qui plane sur notre langue. Félicitations à Mme Nathalie Brissette-Chenery et Mme Amy Lozinski qui ont encadré la troupe, ainsi qu’aux acteurs : Bradie Delarosbil, Emmanuel Masson, Camille Kaytor, Andréanne Fletcher, Albertos Mokymany-Kopati, Julien Hamon-Fafard et finalement à Alpha Sow à la technique.

Imprimer
27122 Noter cet article:
Pas de note
 

Actualité juridique (L'Eau vive)

Louis Riel pendu deux fois Louis Riel pendu deux fois

Louis Riel pendu deux fois

Le verdict est tombé comme un couperet. Les contraventions de Gilles Caron et Pierre Boutet ne rendront pas les provinces de la Saskatchewan et de l'Alberta bilingues.
Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

La Cour suprême rejette les arguments des avocats de Caron-Boutet

Dans un jugement anticipé depuis 12 ans, la Cour suprême a rejeté les arguments des demandeurs et déclaré que « la Constitution n’oblige pas l’Alberta à édicter et publier des lois et règlements en français et en anglais. »

RSS
Première567810121314Dernière

Nouvelles de l'AJEFS


Centre Info-Justice

L'AJEFS sur Facebook