Francine Proulx-Kenzle
/ Catégories: 2018, Société, Santé

Margaret Trudeau : pour le mieux-être et la santé mentale

Conférence à l'Université de Regina

Margaret Trudeau

Margaret Trudeau

Conférencière invitée dans le cadre de la Semaine de la santé mentale 2018, à l’Université de Regina
Photo : Vianne Timmons
REGINA - Une grande défenderesse du mieux-être et de la santé mentale, Margaret Trudeau, était de passage à l’Université de Regina le vendredi 9 février. Invitée par le syndicat des étudiants universitaires, dans le cadre de la Semaine du bien-être mental 2018 « Pop the Stigma », elle s’est adressée à un grand auditoire de jeunes et moins jeunes.

Avec honnêteté, courage et transparence, elle nous a partagé les défis de vivre avec un diagnostic bipolaire tout en appréciant les joies de la vie. Facile à écouter, madame Trudeau nous a fait un clin d’œil à partir de son rôle de la plus jeune « première dame du pays ». J’ai découvert une femme courageuse, forte, intelligente, passionnée et drôle.

Son message aux gens qui sont stressés ou qui vivent des difficultés était clair : Essayer de s’en sortir tout seul ne fonctionne pas, n’hésitez pas d’aller chercher de l’aide !

Elle nous a offert trois recommandations pour une santé mentale positive : bien dormir (pour produire le sérotonine), bien manger (pour ressourcer notre corps) et chaque jour, être actif (le plein air, l’exercice).

Imprimer
16980 Noter cet article:
Pas de note

Actualité juridique (L'Eau vive)

Louis Riel pendu deux fois Louis Riel pendu deux fois

Louis Riel pendu deux fois

Le verdict est tombé comme un couperet. Les contraventions de Gilles Caron et Pierre Boutet ne rendront pas les provinces de la Saskatchewan et de l'Alberta bilingues.
Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

Le statut du français dans l’Ouest canadien: ce n'était qu'une promesse

La Cour suprême rejette les arguments des avocats de Caron-Boutet

Dans un jugement anticipé depuis 12 ans, la Cour suprême a rejeté les arguments des demandeurs et déclaré que « la Constitution n’oblige pas l’Alberta à édicter et publier des lois et règlements en français et en anglais. »

RSS
Première567810121314Dernière

Nouvelles de l'AJEFS


Centre Info-Justice

L'AJEFS sur Facebook