Zoé Fortier (EV)

Le front des artistes en rencontre à Saskatoon

“Personne n’est mieux qualifié qu’un artiste pour parler des artistes” - Jack Chambers, fondateur de CARFAC 1968

Pierre Lhéritier, président de CARFAC Saskatchewan

Pierre Lhéritier, président de CARFAC Saskatchewan

Photo: Courtoisie de Pierre Lhéritier (2015)
SASKATOON - Le 30 mai dernier, Canadian Artists Representation / Le Front des artistes canadiens (CARFAC) tenait à Saskatoon son assemblée générale annuelle au centre francophone Le Relais. La foule rassemblée était composée de représentants de toutes les provinces et des territoires, mais aussi des artistes membres de l’organisme.

Le front des artistes prenait cette occasion pour faire le bilan d’une année marquée par un passage à la Cour suprême qui a culminé par l’adoption d’une entente-cadre avec le Musée des beaux-arts du Canada. Ce long périple juridique avec le Musée dure depuis plus d’une décennie déjà et aura coûté plus de 150 000$ à CARFAC. La demande des artistes canadiens pour une rémunération équitable a été entendue par la Cour suprême le 14 mai 2014 et c’est en août de la même année que la Cour a renvoyé une décision favorable aux associations d’artistes.

Pierre Lhéritier, président de CARFAC Saskatchewan, soulignait l’importance de la tenue de cet événement en province à Saskatoon. Ce rassemblement offre, d’après lui, une belle visibilité à la province et à ses artistes, mais aussi, une opportunité pour ces derniers de pouvoir assister en personne à ce rassemblement important. Monsieur l’Héritier soulignait que les artistes saskatchewannais étaient nombreux à appuyer leur organisme national qui milite avec ferveur pour le respect des droits et de la rémunération des tous les artistes visuels canadiens.

Imprimer
17038 Noter cet article:
Pas de note

Actualité juridique (L'Eau vive)

Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ? Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ?

Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ?

Le manque de juges, avocats, procureurs et greffiers bilingues en milieu minoritaire est une réalité de longue date. Mais l’immersion, de plus en plus populaire au pays, pourrait constituer une piste de solution.

L’exercice de la démocratie, par et pour les jeunes L’exercice de la démocratie, par et pour les jeunes

L’exercice de la démocratie, par et pour les jeunes

Journée fransaskoise du droit

REGINA - L’argumentation, le débat, le contre débat, l’élocution ou la simple discussion sont les exercices complexes auxquels se sont adonnés plus d’une centaine de jeunes pour la Journée fransaskoise du droit le 6 mars.

RSS
135678910Dernière

Nouvelles de l'AJEFS


Centre Info-Justice

L'AJEFS sur Facebook