26 octobre Autochtones / Métis Suis-je un colon? Jérôme Melançon s'interroge sur l'usage du terme « colon », qui est de plus en plus utilisé par des personnes non...
Vers un nouveau modèle de conservation de la faune sauvage ? Le modèle nord-américain de conservation de la faune sauvage est une doctrine vieille de 160 ans. Un modèle prédominant pour les organismes...
Des balados en français pour les écoles Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière,...
La FCFA demande quatre amendements au projet de loi C-32 Avant l’assermentation du prochain cabinet de Justin Trudeau, la Fédération des communautés francophones et acadiennes prend soin...
La distorsion de l’espace: les symptômes post-pandémie Au cours de cinq chroniques, Frédéric Dupré compte vous présenter quelques-unes des transformations radicales qui sont en train de redéfinir les...
17 juillet 2014 Alexandre Daubisse (EV) 21502 2014, Société, Faits divers Soleil d’airain, lune d’argent Cette semaine, si vous regardiez le ciel, et en particulier le coucher de soleil, vous avez pu remarquer que l’horizon et le soleil n’avaient pas leur apparence ordinaire. Un halo rouge, cuivré, traversait péniblement un brouillard persistant qui étreignait le ciel dans son entièreté. La raison de ce soleil d’airain est la fumée provoquée par les incendies de forêt dans les Territoires du Nord-Ouest (T. N-O.). Près de 140 foyers ont été recensés par les autorités. La sécheresse et la foudre seraient à la source de ces feux inhabituels. Les employés de l’agence de l’Environnement et des ressources naturelles n’ont pas vu d’incendies de cette ampleur depuis environ trente ans. Les personnes âgées, les enfants et les personnes souffrant de problèmes respiratoires sont à risque. La fumée qui a atteint toute la Saskatchewan, le Manitoba et les deux Dakotas au sud de la frontière s’est dissipée grâce à des vents d’Ouest et ne devrait pas représenter de risque sanitaire dans nos régions. Si vous continuiez à observer le ciel, de nuit cette-fois, dans la nuit de samedi à dimanche vous avez pu remarquer que la lune paraissait plus grande et plus brillante. Il s’agissait d’une super Lune. La première des trois que nous pourrons observer cette année. Une super Lune intervient lorsque notre satellite s’approche de son point le plus près de la terre, c’est-à-dire qu’il s’approche du périgée. La lune semble alors immense et très lumineuse (14% plus grande et 30% plus lumineuse). Lors d’un périgée, la lune peut se trouver à environ 50 000 kilomètres plus près de la terre que lorsqu’elle est à son point le plus loin, soit à l’apogée. Ces super Lunes estivales sont remarquables car elles seront des pleines lunes. Si vous avez manqué la super Lune du 12 juillet, vous aurez une deuxième chance d’en observer une autre le 10 août prochain puis encore une autre le 9 septembre. Ce sera l’occasion de méditer ou de prendre quelques clichés spectaculaires. Partager Imprimer