13 octobre Chronique environnement Le castor, aussi à l’aise en ville qu’à la campagne ? Ayant frôlé l’extinction des mains des colons européens, les castors recolonisent aujourd’hui une grande partie de leur aire de...
Que penser de l'« ordimobile » Depuis plusieurs années, l’ordinateur prend une place de plus en plus présente dans nos véhicules.
Comment régler le problème des consultants en immigration peu scrupuleux Pour Luisa Veronis, professeure agrégée à l’Université d’Ottawa, il faudrait scruter les processus d’immigration du...
Le CÉCS au chevet de la fransaskoisie durant la pandémie 547 emplois créés, 172 000 dollars d'investissements dans différents projets et pas moins de 18 nouvelles entreprises francophones ayant...
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en...
10 septembre 2015 Martin Kakra-Kouame (EV) 24845 2015, Société, Bénévolat Bénévolat: Les associations s’adaptent comme elles peuvent Éric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon Photos : Martin Kakra-Kouame (2015) SASKATOON - Parfois confrontées au manque de bras, les associations doivent trouver des solutions alternatives pour organiser leurs activités. Le pavillon francophone du Folkfest de Saskatoon, ce sont en moyenne 5 500 à 6 000 visiteurs en trois jours. Après la Fête fransaskoise, il constitue l’évènement communautaire le plus « consommateur » de bénévoles. Lors de l’édition 2015, Eric Lefol, directeur général de la Fédération des francophones de Saskatoon (FFS), organisateur principal du pavillon, n’a pas caché que « la mobilisation des bénévoles avait été un énorme défi cette année ». Balises Dossier bénévolat Partager Imprimer