13 octobre Chronique environnement Le castor, aussi à l’aise en ville qu’à la campagne ? Ayant frôlé l’extinction des mains des colons européens, les castors recolonisent aujourd’hui une grande partie de leur aire de...
Que penser de l'« ordimobile » Depuis plusieurs années, l’ordinateur prend une place de plus en plus présente dans nos véhicules.
Comment régler le problème des consultants en immigration peu scrupuleux Pour Luisa Veronis, professeure agrégée à l’Université d’Ottawa, il faudrait scruter les processus d’immigration du...
Le CÉCS au chevet de la fransaskoisie durant la pandémie 547 emplois créés, 172 000 dollars d'investissements dans différents projets et pas moins de 18 nouvelles entreprises francophones ayant...
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en...
28 décembre 2018 Frédéric Frédéric Dupré 43458 Archives, 2018, Communautaire, Prince Albert, Mon métier, ma passion Christian Fure : directeur le jour, chercheur le soir Christian Fure au Rendez-vous fransaskois 2018 Photo : Chantal Amstad PRINCE ALBERT - Christian Fure est un nouvel employé de la Société canadienne-française de Prince Albert. Il occupe le poste de directeur général de l’organisme depuis mai 2018. Un homme d’une grande gentillesse, humble, qui recèle un profil professionnel inusité. Christian est détenteur d’une maîtrise de l’Université de Moncton en administration des affaires. Sa passion pour les études et la recherche a débuté dans son pays natal, le Congo, où il a obtenu une licence en science économique et de gestion, avec distinction, à l’Université de Kinshasa. Il y a des étudiants qui fréquentent l’université, mais qui ne deviennent jamais chercheurs, Christian est de ceux pour qui la recherche est une passion sincère. Il s’intéresse à l’impact du gel des salaires sur la motivation des employés et vient de publier un livre sur le sujet. Il s’est inspiré de l’expérience des professeurs de l’Université de Moncton et des organismes communautaires pour écrire son livre. Il propose une série de recommandations aux employeurs pour maintenir la motivation des employés subissant des mesures d’austérité financière. Son travail à Prince Albert lui permet de sortir de son bureau et de ses lectures pour aller sur le terrain et engager des conversations avec les gens. Sa migration vers l’ouest, bien que déstabilisante au début, se trouve être maintenant une expérience très positive. Il est maintenant chez lui à Prince Albert. Après avoir vécu à Moncton (N.-B.), se déraciner n’a pas été facile et Prince Albert est complètement différent des Maritimes. Mais, il s’estime chanceux d’avoir été reçu par cette communauté. Christian est heureux où il se trouve et compte y rester longtemps. Il prépare d’ailleurs sa prochaine recherche qui devrait porter sur les impacts de l’immigration au Canada. Balises Gens d'ici Partager Imprimer