21 juillet Littérature Mon écologie : recueil du poète fransaskois Alasdair Rees Poète et étudiant en maîtrise à l’Université de la Saskatchewan, Alasdair Rees nous présente son recueil Mon...
Une Acadienne prend la présidence de la FCFA Liane Roy est la première Acadienne depuis 2007 à occuper le poste de présidente de la Fédération des communautés francophones et acadienne
Des membres divisés à Moose Jaw Un climat hostile et des accusations de part et d’autre ont marqué l'l’assemblée générale...
Vision d’avenir et bilan d’une année hors norme à l’ACF « On veut faire des choses qui nous plaisent, et on concentre notre action là-dessus », affrime le président...
Pour une communauté plus verte L’Assemblée communautaire fransaskoise a embauché Melaina Sutherland, une passionnée d’écologie et étudiante au baccalauréat...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5033 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer