25 juin Politique Renforcer les liens bilingues entre services d'aide à l'établissement La Saskatchewan Association of Immigrant Settlement and Integration Agencies veut renforcer les liens entre anglophones et...
Sitting Bull : sur les pistes d’un guerrier qui cherchait la paix Sitting Bull est un guerrier et dirigeant lakota devenu célèbre à la suite de la défaite de George Custer lors de la bataille...
De jeunes artistes présentent leurs projets numériques Un projet du Conseil culturel fransaskois a permis aux jeunes de 14 à 17 ans de suivre une formation avec des professionnels du secteur du...
Trois artistes posent leur regard sur l’héritage linguistique du colonialisme La conférence en français Les langues dans l’ombre des colonialismes était une initiative du Musée d’art MacKenzie de Regina...
Léguer son histoire, un travail de réminiscence Auteure des livres et du jeu de cartes Léguez votre histoire, l'écrivaine Nancy Mbatika propose des ateliers qui explorent, avec...
18 juin 2019 FAJEF 19981 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer