26 août Musique Se faire une place grâce au Festival international de la chanson de Granby Le Festival international de la chanson de Granby se donne depuis plus de 50 ans la mission de promouvoir la chanson francophone au...
Chroniques d’un ornithologue - Chapitre 1 : L’entraînement L'Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan a pour but d’évaluer la situation, la répartition et l’abondance relative des...
Mise en orbite de nouvelles voix au Festival folk de Regina Cet été, le Festival folk de Regina a présenté une série condensée de concerts propulsant sur le devant de la scène de nouvelles...
Les partis politiques respectent-ils leurs promesses électorales ? La croyance populaire veut que les élus ne respectent pas leurs promesses, mais la réalité est tout autre selon les politologues.
The Twentieth Century : Matthew Rankin réinvente l’esprit canadien Le filrm The Twentieth Century (2019) présente une reconstitution ultra-stylée de la première élection de William Lyon...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer