Petite enfance 7 octobre 2021 Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon
5 octobre Jeunesse Marguerite Tölgyesi, la nouvelle présidence de la FJCF Bientôt huit ans après ses débuts dans l’associatif et la politique avec le comité Jeunesse Franco-Yukon (JeFY), Marguerite Tölgyesi...
Prince Albert Prince Albert, une « communauté qui a de l’avenir » selon le nouveau directeur de la SCFPA
Le Rendez-vous fransaskois est de retour en 2021 Le Rendez-vous fransaskois a été au cœur des discussions de l’ADC, avec notamment la décision de rendre l’événement virtuel en raison...
Journées du patrimoine: le lys des Prairies à l'époque victorienne La 16e édition des Journées du patrimoine, intitulée L'éclosion du Lys des prairies et portait sur la création de la...
Shawn Jobin se rapproche de ses rêves Le 24 septembre, l’artiste Shawn Jobin a lancé son deuxième album intitulé Distance.
Après cinquante ans, le multiculturalisme canadien a toujours ses limites Le 8 octobre 1971, le gouvernement canadien adoptait sa toute première politique affirmant le multiculturalisme du pays. Retour sur les 50...
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer