21 octobre 2ELGBTQ Laurent Francis Ngoumou: sa bataille pour les droits des immigrants LGBTQ+ À 34 ans, Laurent Francis Ngoumou jette un regard lucide sur son Cameroun natal, où il a souvent senti qu’il était dangereux...
Comment accueillir les réfugiés afghans adéquatement en français? Quel est rôle à jouer des communautés francophones dans l’installation des réfugiés afghans dans les diverses régions du Canada?
Retour sur la 41e AGA de la Fédération des francophones de Saskatoon La FFS est en bonne santé financière et a annoncé un calendrier 2021-2022 plein de nouveautés axées majoritairement sur la culture.
La Fransaskoisie en danger selon ses élus La pandémie fait peser d’après eux un poids énorme sur les épaules des organismes communautaires qui doivent jongler entre annulation...
Comment favoriser la communication entre les organismes francophones? Les instigateurs du Partenariat provincial interculturel ont lancé un microsite web pour une communauté plus harmonieuse.
18 juin 2019 FAJEF 19952 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer